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Geauthoriseerde beschrijving

Freeman, Barbara M.

  • Persoon
Barbara M. Freeman holds a Bachelor of Journalism degree and a Master of Arts in Canadian Studies from Carleton University. She graduated with a Ph.D. in History from Concordia University in Montreal. She began teaching at Carleton University in Ottawa in 1980 after a career in broadcast journalism. As an adjunct research professor of journalism at Carleton University, her key research areas were communications history, and gender and diversity issues in the media in the School of Journalism and Communication. She is the author of Beyond Bylines: Media Workers and Women’s Rights in Canada (2011), The Satellite Sex: The Media and Women’s Issues in English Canada, 1966-1971 (2001), and of Kit’s Kingdom: the Journalism of Kathleen Blake Colema (1989). In these essays, she examines historical cases of women who worked in print and broadcast media and were committed activists as well. Her case studies illustrate how the language and foci of women’s rights have changed from the late 19th century until the year 2000 as her subjects sought equality in education, suffrage, fair employment practices, reproductive and sexual freedom, and the rights of indigenous women. She has also published articles in several anthologies and journals. She is a founding and executive member of the Media and Communication History Committee and a member of the Canadian Committee on Women’s History.
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Barbara M. Freeman est titulaire d'une licence en journalisme et d'un master en études canadiennes de l'université Carleton. Elle a obtenu un doctorat en histoire à l'université Concordia de Montréal. Elle a commencé à enseigner à l'université Carleton à Ottawa en 1980 après une carrière dans le journalisme de radiodiffusion. En tant que professeure adjointe de journalisme à l'université Carleton, ses principaux domaines de recherche étaient l'histoire de la communication et les questions de genre et de diversité dans les médias au sein de l'école de journalisme et de communication. Elle est l'autrice de Beyond Bylines : Media Workers and Women's Rights in Canada (2011), The Satellite Sex : The Media and Women's Issues in English Canada, 1966-1971 (2001), et de Kit's Kingdom : the Journalism of Kathleen Blake Colema (1989). Dans ses essais, elle examine des cas historiques de femmes qui travaillaient dans la presse écrite et audiovisuelle et qui étaient également des militantes engagées. Ses études de cas illustrent la manière dont le langage et les priorités des droits des femmes ont évolué entre la fin du XIXe siècle et l'an 2000, alors que ses sujets recherchaient l'égalité dans l'éducation, le suffrage, des pratiques d'emploi équitables, la liberté sexuelle et reproductive, et les droits des femmes indigènes. Elle a également publié des articles dans plusieurs anthologies et revues. Elle est membre fondatrice et exécutive du Comité d'histoire des médias et de la communication et membre du Comité canadien d'histoire des femmes.

Women's Liberation Bookmobile

  • Instelling
  • 1974-1975
"CORA was the creation of Judith Quinlan, Boo Watson and Ellen Woodsworth, three young women from Toronto who began planning the feminist bookmobile in 1973. They raised funds, promoted their plan, and bought and outfitted an old school bus, transforming it into a mobile library to promote information about women. A government grant provided the funding which got the wheels turning for the bus to begin its travels through rural Ontario in 1974.
Four other women joined them for the summer. “Women’s Liberation Bookmobile” was painted in large letters on CORA’s side. Inside the bus, racks held books (for sale, loan and to give away) by, for and about women, their history and the growing women’s liberation movement.
CORA was named for E. Cora Hind, a pioneer suffragist, grain grower and writer. The motivation for the travelling bookmobile was to make women’s books, periodicals and newspapers more readily available to women in small towns. Judith and Ellen wanted to help women in isolated situations find each other, facilitate communication and demystify women’s liberation, encourage schools, libraries and community centres to be aware of women’s resources and materials, and encourage women to write about their own experiences.
The women who operated CORA worked collectively, with a flexible attitude always open to new ideas. They would arrive in town, displaying their, “Women Working” sign, choose a conspicuous parking spot and then haggle with town officials for permission to park. Then they would set up, using an outdoor display rack (until it was run over in Huntsville!), distributing flyers about CORA, contacting local media, directly leafleting on the town streets.
Many women, young and old, from all backgrounds, visited CORA. Women’s groups were beginning to form in some locations, and CORA’s staff participated in meetings. The bookmobile carried information from women’s centres across Ontario and gave away literature. Women were delighted to see CORA the feminist bookmobile in their town.
The adventures of CORA were recounted in a Toronto feminist newspaper, The Other Woman, in 1975. In one town, Boo and Ellen got thrown out of the pool hall because, “there was no women’s washroom.” Camp counselors came and talked. One said, “This night might change my whole life.” The presence of CORA, the Feminist Bookmobile, in that summer of 1974, turned heads and raised consciousness.
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CORA est la création de Judith Quinlan, Boo Watson et Ellen Woodsworth, trois jeunes femmes de Toronto qui ont commencé à planifier le bibliobus féministe en 1973. Elles ont collecté des fonds, fait la promotion de leur projet, acheté et aménagé un vieux bus scolaire qu'elles ont transformé en bibliothèque mobile pour promouvoir l'information sur les femmes. Une subvention gouvernementale leur fournit le financement nécessaire pour que le bus commence à parcourir les régions rurales de l'Ontario en 1974.
Quatre autres femmes les rejoignent pour l'été. Le nom ""Women's Liberation Bookmobile"" (bibliobus de la libération des femmes) est peint en grosses lettres sur le flanc du CORA. À l'intérieur du bus, des étagères contenaient des livres (à vendre, à prêter et à donner) écrits par, pour et sur les femmes, leur histoire et le mouvement de libération des femmes en plein essor.
CORA a été baptisé en l'honneur d'E. Cora Hind, une pionnière suffragiste, céréalière et écrivaine. La motivation de ce bibliobus itinérant était de rendre les livres, périodiques et journaux féminins plus facilement accessibles aux femmes des petites villes. Judith et Ellen voulaient aider les femmes isolées à se retrouver, faciliter la communication et démystifier la libération des femmes, encourager les écoles, les bibliothèques et les centres communautaires à connaître les ressources et le matériel destinés aux femmes, et encourager les femmes à écrire sur leurs propres expériences.
Les femmes qui géraient CORA travaillaient collectivement, avec une attitude flexible et toujours ouverte aux nouvelles idées. Elles arrivaient en ville en arborant leur panneau ""Women Working"", choisissaient une place de parking bien visible et marchandaient avec les fonctionnaires de la ville pour obtenir l'autorisation de se garer. Puis elles s'installaient, utilisant un présentoir extérieur (jusqu'à ce qu'il soit écrasé à Huntsville !), distribuant des dépliants sur l'ACRO, contactant les médias locaux, distribuant directement des tracts dans les rues de la ville.
De nombreuses femmes, jeunes et moins jeunes, de tous horizons, ont visité l'ACRO. Des groupes de femmes commençaient à se former dans certains endroits et le personnel de l'association participait aux réunions. Le bibliobus transporte des informations provenant des centres de femmes de tout l'Ontario et distribue de la documentation. Les femmes sont ravies de voir CORA, le bibliobus féministe, dans leur ville.
Les aventures de CORA ont été relatées dans un journal féministe de Toronto, The Other Woman, en 1975. Dans une ville, Boo et Ellen ont été expulsées de la salle de billard parce qu'il n'y avait pas de toilettes pour femmes. Les conseillers du camp sont venus parler. L'une d'entre elles a déclaré : ""Cette nuit pourrait changer toute ma vie"". La présence de CORA, le bibliobus féministe, au cours de cet été 1974, a fait tourner les têtes et a éveillé les consciences."

The Feminist News Service

  • Instelling
  • 1974-?
"The Feminist News Service started in December 1974, after a conference held in Winnipeg. It became a national organization with an office in all provinces except for the Atlantic and the territories. Their aim was to become a link between women's groups and newspapers across the country.
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Le Feminist News Service a vu le jour en décembre 1974, à la suite d'une conférence tenue à Winnipeg. Il est devenu une organisation nationale avec un bureau dans toutes les provinces, à l'exception de l'Atlantique et des territoires. Son objectif est de devenir un lien entre les groupes de femmes et les journaux à travers le pays."

Women's Place (Ottawa, ON)

  • Instelling
  • 1972-

"The idea for Women's Place/Place Aux Femmes originally grew out discussions held in January 1984 with Mayor of Ottawa, Marion Dewar. The community representatives and individuals who met with the Mayor felt there was a need for a centralized telephone information and referral service specifically for women.

A feasibility study on the need for such a service was commissioned in 1984 by an interim board named Women's Info. The study confirmed the need for one source to co-ordinate and provide information on the services available to women. Those surveyed also pointed to the problem of gaps in service and the need for outreach and advocacy, and so it was agreed that, although the service would begin with information and referral, it would grow into the areas of support, advocacy and direct services. In late 1984, while plans were being made for the new service, numerous concerns were raised about duplication of existing services, particularly with the Community Information Centre. To deal with these concerns, Women's Info decided to accelerate their growth plans and were given a grant of $10,000 to gather support and suggestions for the new proposal which included a wider range of services and a physical space for personal access and Centre activities.

Women's Info consulted the community extensively through mail-out questionnaires, pamphlets, and in-depth interviews, and discussions were also held with Community Information Centre representatives in an attempt to clarify respective roles and objectives. It was agreed that, besides providing information and referral, the new women's centre would also help identify and advocate for unmet needs and resources, and would work to heighten awareness of women's issues. The new proposal had extensive community support, and on October 16, Ottawa City Council approved funding. On June 12, 1986, Women's Place/Place aux Femmes officially opened at 242 Besserer Street.

From the beginning, Women's Place was concerned with reaching out to women who were isolated or disadvantaged because of age, ethnicity, poverty, disability or a combination of factors. Thus, their services, operating guidelines, and structure reflected the need to be inclusive and accessible. They did regular and extensive community outreach, established a francophone services collective and worked closely with other organizations to identify and work to solve problems caused by gaps in service. The Board was made up of both staff, volunteers and community members, and the organization was operated as a collective, with everyone sharing in the decision making process. Decision-making positions could not be held by men, although they could have limited access to services and information.

Like many women's organizations, Women's Place faced its share of financial problems, relying for funding on individual donations and government grants. In September 1986, only a few months after their official opening, their budget was reduced from $80,000 to $40,000, necessitating the cutting of 3 full time positions and many services. Another cut, in 1987, was met with a huge fundraising effort which included a reception for Bonnie Robichaud on Parliament Hill, film nights, a poetry reading, dances, a March for Peace and a music night. Since 1988, Women's Place/Place aux Femmes has relied mainly on grants from the provincial and local governments. In 1991, it moved from Besserer Street to Bruyère Street, where it rented the top half of a local community centre from the City of Ottawa.
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L'idée de Place Aux Femmes est née de discussions tenues en janvier 1984 avec le maire d'Ottawa, Marion Dewar. Les représentants de la communauté et les personnes qui ont rencontré la maire estimaient qu'il était nécessaire de disposer d'un service téléphonique centralisé d'information et d'orientation destiné spécifiquement aux femmes.

Une étude de faisabilité sur la nécessité d'un tel service a été commandée en 1984 par un conseil provisoire appelé Women's Info. L'étude a confirmé la nécessité d'une source unique pour coordonner et fournir des informations sur les services disponibles pour les femmes. Les personnes interrogées ont également souligné le problème des lacunes dans les services et la nécessité d'une action de proximité et de défense des droits. Il a donc été décidé que le service commencerait par l'information et l'orientation, mais qu'il se développerait dans les domaines de l'aide, de la défense des droits et des services directs. À la fin de l'année 1984, alors que l'on planifiait le nouveau service, de nombreuses inquiétudes ont été exprimées quant à la duplication des services existants, en particulier avec le Centre d'information communautaire. Pour répondre à ces préoccupations, Women's Info a décidé d'accélérer ses plans de croissance et a reçu une subvention de 10 000 dollars pour recueillir des soutiens et des suggestions pour la nouvelle proposition qui comprenait une gamme plus large de services et un espace physique pour l'accès personnel et les activités du Centre.
Women's Info a largement consulté la communauté par le biais de questionnaires envoyés par la poste, de brochures et d'entretiens approfondis, et des discussions ont également eu lieu avec les représentants du centre d'information communautaire afin de clarifier les rôles et les objectifs respectifs. Il a été convenu qu'en plus de fournir des informations et des services d'orientation, le nouveau centre pour les femmes contribuerait également à identifier et à défendre les besoins et les ressources non satisfaits, et qu'il s'efforcerait d'accroître la sensibilisation aux questions relatives aux femmes. La nouvelle proposition bénéficie d'un large soutien communautaire et, le 16 octobre, le conseil municipal d'Ottawa en approuve le financement. Le 12 juin 1986, Women's Place/Place aux Femmes ouvre officiellement ses portes au 242, rue Besserer.
Dès le début, Place aux femmes s'est efforcé d'atteindre les femmes isolées ou défavorisées en raison de leur âge, de leur origine ethnique, de leur pauvreté, de leur handicap ou d'une combinaison de facteurs. Ainsi, ses services, ses lignes directrices et sa structure reflètent la nécessité d'être inclusif et accessible. L'association a mené des actions régulières et approfondies auprès de la communauté, a mis en place un collectif de services francophones et a travaillé en étroite collaboration avec d'autres organisations afin d'identifier et de résoudre les problèmes causés par les lacunes dans les services. Le conseil d'administration était composé de membres du personnel, de bénévoles et de membres de la communauté, et l'organisation fonctionnait comme un collectif, chacun participant au processus de prise de décision. Les postes de décision ne peuvent être occupés par des hommes, même si ceux-ci peuvent avoir un accès limité aux services et à l'information.
Comme beaucoup d'organisations de femmes, Place aux femmes a connu sa part de problèmes financiers, son financement reposant sur des dons individuels et des subventions gouvernementales. En septembre 1986, quelques mois seulement après son ouverture officielle, son budget a été réduit de 80 000 à 40 000 dollars, ce qui a nécessité la suppression de trois postes à temps plein et de nombreux services. Une autre réduction, en 1987, a donné lieu à une énorme collecte de fonds qui comprenait une réception pour Bonnie Robichaud sur la Colline du Parlement, des soirées cinéma, une lecture de poésie, des danses, une marche pour la paix et une soirée musicale. Depuis 1988, Place aux Femmes dépend principalement des subventions des gouvernements provinciaux et locaux. En 1991, il a déménagé de la rue Besserer à la rue Bruyère, où il a loué la moitié supérieure d'un centre communautaire local à la Ville d'Ottawa."

Conant, Verna Rowena

  • Persoon
  • April 23, 1888-May, 1992
"Verna Rowena Conant (née Smith) was born on April 23, 1888, the daughter of Ernest Disraeli Smith and Christina Ann Smith (1861-1932). Her mother was the first President of the Women Institute of Canada in Winona Division, Ontario. She has one brother, Brigadier Armand Armstrong Smith. Verna Rowena Smith studied at Toronto's Havergal College and then lived in Ottawa where her father served as an MP. She met her future husband at her coming out party in 1911 at Hederleigh, the family House, in Grimsby, Ontario. She married Gordon Daniel Conant (1895-1953) on June 25, 1913, in Wentworth County, Ontario. Gordon Daniel Conant was a lawyer from Oshawa, future Mayor of Oshawa, attorney general of Ontario and Premier of Ontario from October 6, 1937 to June 30, 1943. While raising her family, Verna Rowena Conant became active in her community and organizations. She became Honorary president of the Oshawa General Hospital of the women's auxiliary, the Women's Institute, the Oshawa Historical Society and the Girl Guides. She played an important role with the St. John Ambulance and received the title of Dame of the Order of St. John. Verna Rowena Conant and her husband had 3 children; Geneviève, Douglas and Roger. Verna Rowena Conant died in Oshawa in May 1992 and is buried in Oshawa Union Cemetery.
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Verna Rowena Conant (née Smith) est née le 23 avril 1888, fille d'Ernest Disraeli Smith et de Christina Ann Smith (1861-1932). Sa mère est la première présidente de l'Institut des femmes du Canada à Winona Division, en Ontario. Elle a un frère, le brigadier Armand Armstrong Smith. Verna Rowena Smith étudie au Havergal College de Toronto, puis vit à Ottawa où son père est député. Elle rencontre son futur mari lors de sa fête de sortie en 1911 à Hederleigh, la maison familiale, à Grimsby, en Ontario. Elle épouse Gordon Daniel Conant (1895-1953) le 25 juin 1913, dans le comté de Wentworth, en Ontario. Gordon Daniel Conant est un avocat d'Oshawa, futur maire d'Oshawa, procureur général de l'Ontario et premier ministre de l'Ontario du 6 octobre 1937 au 30 juin 1943. Tout en élevant sa famille, Verna Rowena Conant devient active dans sa communauté et ses organisations. Elle devient présidente honoraire de l'hôpital général d'Oshawa, de l'auxiliaire féminin, de l'Institut des femmes, de la Société historique d'Oshawa et des Guides. Elle a joué un rôle important au sein de l'Ambulance Saint-Jean et a reçu le titre de Dame de l'Ordre de Saint-Jean. Verna Rowena Conant et son mari ont eu trois enfants : Geneviève, Douglas et Roger. Verna Rowena Conant est décédée à Oshawa en mai 1992 et est enterrée au Oshawa Union Cemetery."

Moore, Dawna Gallagher

  • Persoon

"Dawna Gallagher-Moore was born in Hamilton, Ontario. She is a visual and performance artist, and also a visual researcher of Canadian cultural history. She holds a Masters of Fine Arts from Nova Scotia College of Art and Design (NSCAD), and a Masters of Canadian Studies from Carleton University. She has completed doctoral studies and an oral examination in Canadian History at the University of Ottawa. In 1986, she received the Brucebo Canadian-Scandinavian Scholarship for landscape painting and spent a summer painting and bicycling around Sweden’s Gotland Island in the Baltic Sea. She worked for Library and Archives Canada. She also has taught painting, drawing, watercolour, cartooning and art history. She is best known for her cryptic, witty, and pointed cartoons published in Vancouver, Toronto, Halifax, Ottawa, and New-York. She now runs TreeTop Art Studio, which offers workshops and art classes for children and adults in Ottawa, Ontario. She is married to the writer and editor John P. Moore.

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Dawna Gallagher-Moore est née à Hamilton, en Ontario. Elle est une artiste visuelle et de performance, ainsi qu'une chercheuse visuelle de l'histoire culturelle canadienne. Elle est titulaire d'un master en beaux-arts du Nova Scotia College of Art and Design (NSCAD) et d'un master en études canadiennes de l'université de Carleton. Elle a suivi des études doctorales et passé un examen oral en histoire canadienne à l'université d'Ottawa. En 1986, elle a reçu la bourse Brucebo Canadian-Scandinavian Scholarship pour la peinture de paysages et a passé un été à peindre et à faire du vélo autour de l'île suédoise de Gotland, dans la mer Baltique. Elle a travaillé pour Bibliothèque et Archives Canada. Elle a également enseigné la peinture, le dessin, l'aquarelle, la caricature et l'histoire de l'art. Elle est surtout connue pour ses dessins énigmatiques, spirituels et pointus publiés à Vancouver, Toronto, Halifax, Ottawa et New York. Elle dirige aujourd'hui le TreeTop Art Studio, qui propose des ateliers et des cours d'art pour enfants et adultes à Ottawa, en Ontario. Elle est mariée à l'écrivain et éditeur John P. Moore."

Clennet-Sirois, Laurence

  • Persoon
Laurence Clennett-Sirois est sociologue et chercheuse indépendante spécialisée dans les études sur le genre et les femmes. Elle a obtenu son baccalauréat en sciences sociales de l'Université du Québec en Outaouais en 2005, sa maîtrise en sociologie et en études des femmes de l'Université d'Ottawa d'Ottawa en 2008, et son doctorat en études de genre de l'Université de Sussex en 2013.
Elle a travaillé comme chargée de cours à temps partiel à l'Université du Québec en Outaouais de 2012 à 2018. En 2018, Clennett-Sirois est actuellement en poste en tant qu'analyste des politiques pour Condition féminine Canada.
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Laurence Clennett-Sirois is a sociologist and independent scholar focusing on gender and women's studies. She was awarded her Bachelor of Social Sciences from Université du Québec en Outaouais in 2005, her Masters in Sociology and Women's studies from University of Ottawa in 2008, and her PhD in Gender Studies from the University of Sussex in 2013. She worked as a part-time lecturer at Université du Québec en Outaouais from 2012-2018. In 2018, Clennett-Sirois is currently working as a policy analyst for Status of Women Canada.

Beadle, Gert

  • Persoon
  • 1915-2001
Gert Beadle was born in 1915 and grew up in a farming community outside of Fort Frances, Ontario where she ran the general store & post office. In 1952 she moved with her husband Ralf, to Thunder Bay, Ontario where she was a nurse and became active in the women's movement. She helped establish the Women’s Crisis Homes Incorporated, which grew to include a women’s centre, a rape crisis line, a women’s health collective, a women’s credit union, and a feminist newspaper. She was also a board member of the Thunder Bay Women's Centre and a founding member of the Northern Women's Credit Union. She was also the first president of Crisis Homes Inc. '76, an organization providing support services to battered women. In 1985 she moved to Kelowna, BC where she spent the rest of her life. Member of the collective Northern Woman's Journal, she has published many articles and two volumes of poetry and an essay: Salt and Yeast, Selected Poems (1977), Rising: selected poems (1980) and The resisting spirit (1984). The Kelowna Women’s resources Centre created the Gert Beadle Award in her memory. This award recognizes the value of invisible work done at the community level to enhance women’s equality. Gert Beadle passed away July 11, 2001 at Kelowna, BC at the age of 86.
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Gert Beadle est née en 1915 et a grandi dans une communauté agricole à l'extérieur de Fort Frances, en Ontario, où elle tenait le magasin général et le bureau de poste. En 1952, elle déménage avec son mari Ralf à Thunder Bay, en Ontario, où elle est infirmière et devient active dans le mouvement des femmes. Elle a participé à la création de Women's Crisis Homes Incorporated, qui s'est développée pour inclure un centre pour les femmes, une ligne d'écoute téléphonique en cas de viol, un collectif pour la santé des femmes, une coopérative de crédit pour les femmes et un journal féministe. Elle a également été membre du conseil d'administration du Thunder Bay Women's Centre et membre fondateur de la Northern Women's Credit Union. Elle a également été la première présidente de Crisis Homes Inc. 76, une organisation fournissant des services de soutien aux femmes battues. En 1985, elle s'est installée à Kelowna, en Colombie-Britannique, où elle a passé le reste de sa vie. Membre du collectif Northern Woman's Journal, elle a publié de nombreux articles et deux volumes de poésie et un essai : Salt and Yeast, Selected Poems (1977), Rising : selected poems (1980) et The resisting spirit (1984). Le Kelowna Women's resources Centre a créé le prix Gert Beadle en sa mémoire. Ce prix reconnaît la valeur du travail invisible effectué au niveau communautaire pour améliorer l'égalité des femmes. Gert Beadle est décédée le 11 juillet 2001 à Kelowna, en Colombie-Britannique, à l'âge de 86 ans.

Adamson, Nancy

  • Persoon
  • 1951
Nancy Lee Adamson (born 1951 in Atlanta, Georgia, USA) was a professor, university administrator, and a founding member of the Canadian Women's Movement Archive Collective and its predecessor, the Women's Information Centre (WIC). She holds degrees from Mt. Holyoke College, Emory University, and the University of Toronto, receiving her PhD in 1983. At the University of Toronto, she established the Sexual Harassment Office and worked as a counsellor. From 1991 to 2000 she worked at Carleton University (Ottawa, Ont.) in the Status of Women Office and Equity Services. She is currently working in university administration in Belize.
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Nancy Lee Adamson (née en 1951 à Atlanta, Géorgie, États-Unis) a été professeur, administratrice d'université et membre fondatrice du Canadian Women's Movement Archive Collective et de son prédécesseur, le Women's Information Centre (WIC). Elle est diplômée du Mt. Holyoke College, de l'Emory University et de l'Université de Toronto, où elle a obtenu son doctorat en 1983. À l'université de Toronto, elle a créé le Bureau du harcèlement sexuel et travaillé comme conseillère. De 1991 à 2000, elle a travaillé à l'université Carleton (Ottawa, Ontario) au bureau de la condition féminine et aux services d'équité. Elle travaille actuellement dans l'administration universitaire au Belize.
Resultaten 111 tot 120 van 231