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Notice d'autorité

Cass-Beggs, Barbara

  • Personne
  • 1904-1990
Barbara Cass-Beggs was an English-born Canadian singer, music teacher and feminist activist, particularly focused on women's reproductive rights. She was involved with organizations including Planned Parenthood, Canadian Voice of Women for Peace and Oxfam.
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Barbara Cass-Beggs était une chanteuse canadienne d'origine anglaise, professeur de musique et militante féministe, qui s'est particulièrement intéressée aux droits reproductifs des femmes. Elle s'est impliquée dans des organisations telles que Planned Parenthood, Canadian Voice of Women for Peace et Oxfam.

Clement, Connie

  • CA
  • Personne
  • [195-]-

Connie Clement is a retired feminist health worker whose career spans decades in public health and health equity. Clement identified as a feminist during her secondary and university years when she volunteered for sexual health initiatives and helped found a women’s centre. Clement also acted as a collective founding member of the feminist magazine, “Healthsharing,” helping further the women’s health movement in Canada.
In 1983, Clement began her career at Toronto Public Health (TPH), as a Family Planning Community Worker. Clement became the Toronto Public Health Director, Planning & Policy, before accepting a position with Health Nexus, as Executive Director, in 2000. At Health Nexus, Clement worked on consultation, policy development, health equity, and early child development.
In 2009, Connie Clement became Executive Director of Social Venture Partners Toronto, before moving on to become Scientific Director of the National Collaborating Centre for Determinants of Health (NCCDH)—an organization that identifies social determinants of health and facilitates health equity. Clement retired in 2019, although she remains active in her community of Antigonish, Nova Scotia, working since 2021 for the Antigonish Affordable Housing Society.

Connie Clement est une travailleuse de la santé féministe à la retraite dont la carrière s'étend sur plusieurs décennies dans le domaine de la santé publique et de l'équité en matière de santé. Mme Clement s'est identifiée comme féministe pendant ses années de lycée et d'université, lorsqu'elle s'est portée volontaire pour des initiatives de santé sexuelle et a participé à la création d'un centre pour les femmes. Elle a également été l'un des membres fondateurs du magazine féministe ""Healthsharing"", contribuant ainsi à faire avancer le mouvement pour la santé des femmes au Canada.
En 1983, Mme Clement a commencé sa carrière à la Toronto Public Health (TPH), en tant que travailleuse communautaire chargée de la planification familiale. Elle devient directrice de la planification et de la politique de la santé publique de Toronto, avant d'accepter un poste de directrice exécutive chez Health Nexus en 2000. À Health Nexus, Connie Clement a travaillé sur la consultation, l'élaboration de politiques, l'équité en matière de santé et le développement de la petite enfance.
En 2009, Connie Clement est devenue directrice générale de Social Venture Partners Toronto, avant de devenir directrice scientifique du Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS), une organisation qui identifie les déterminants sociaux de la santé et facilite l'équité en matière de santé. Mme Clement a pris sa retraite en 2019, tout en restant active dans sa communauté d'Antigonish, en Nouvelle-Écosse, où elle travaille depuis 2021 pour l'Antigonish Affordable Housing Society.

Clennet-Sirois, Laurence

  • Personne
Laurence Clennett-Sirois est sociologue et chercheuse indépendante spécialisée dans les études sur le genre et les femmes. Elle a obtenu son baccalauréat en sciences sociales de l'Université du Québec en Outaouais en 2005, sa maîtrise en sociologie et en études des femmes de l'Université d'Ottawa d'Ottawa en 2008, et son doctorat en études de genre de l'Université de Sussex en 2013.
Elle a travaillé comme chargée de cours à temps partiel à l'Université du Québec en Outaouais de 2012 à 2018. En 2018, Clennett-Sirois est actuellement en poste en tant qu'analyste des politiques pour Condition féminine Canada.
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Laurence Clennett-Sirois is a sociologist and independent scholar focusing on gender and women's studies. She was awarded her Bachelor of Social Sciences from Université du Québec en Outaouais in 2005, her Masters in Sociology and Women's studies from University of Ottawa in 2008, and her PhD in Gender Studies from the University of Sussex in 2013. She worked as a part-time lecturer at Université du Québec en Outaouais from 2012-2018. In 2018, Clennett-Sirois is currently working as a policy analyst for Status of Women Canada.

Clough, Annette

  • Personne
  • 1941-
Photographer Annette was born in Jamaica in 1941 and emigrated to Canada in 1960s where she attended Ontario College of Art and University of Toronto. In the 1970s she was involved with the Women’s Counselling Referral and Education Centre, and with Women Against Nuclear Technology in Toronto. Later in the 1980s, she lived in Vancouver, and worked for the Vancouver Women’s Health Collective. She was also a member of the Lavender Conception Conspiracy, a group of lesbians planning to have babies. In the 1990s, she moved back to Toronto and worked for the Women’s Counselling Referral and Education Centre.
Annette Clough is no longer active in any women’s groups.
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La photographe Annette est née en Jamaïque en 1941 et a émigré au Canada dans les années 1960, où elle a suivi les cours de l'Ontario College of Art et de l'université de Toronto. Dans les années 1970, elle a travaillé pour le Women's Counselling Referral and Education Centre et pour Women Against Nuclear Technology à Toronto. Plus tard, dans les années 1980, elle a vécu à Vancouver et a travaillé pour le Vancouver Women's Health Collective. Elle a également été membre du Lavender Conception Conspiracy, un groupe de lesbiennes prévoyant d'avoir des enfants. Dans les années 1990, elle est retournée à Toronto et a travaillé pour le Women's Counselling Referral and Education Centre.
Annette Clough n'est plus active dans aucun groupe de femmes.

Coderre, Cécile

  • Personne
Sociologue et travailleuse sociale de formation, Cécile Coderre a débuté sa carrière à l’Université d’Ottawa en 1983. Elle a occupé des postes de professeure de sociologie, de professeure et de directrice de l’École de service sociale (1998-2003) et de vice-doyenne de la Faculté des sciences sociales. Elle s’est intéressées aux questions relatives à la violence faite aux femmes, au mouvement des femmes francophones vivant en contexte minoritaires, aux approches féministes et communautaires d’intervention de même qu’aux rapports des femmes à l’État. Elle s’est intéressée aussi à la sociologie du travail et de la famille, plus spécifiquement aux femmes gestionnaires des grandes entreprises privées et publiques. Elle est co-auteure de Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). Elle a coédité, dans le cadre des activités de célébration du cinquantième anniversaire de la publication du Deuxième sexe, l’ouvrage Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. Dans son rôle de vice-doyenne aux études et secrétaire elle a stimulé et soutenu la création de nouveaux programmes innovateurs, sensibles aux préoccupations liées aux nouveaux enjeux socio-politiques. Elle a aussi mis sur pied des projets pour enrichir l’expérience étudiante. Parallèlement à sa carrière universitaire, Cécile Coderre est engagée au sein de nombreuses associations vouées au développement communautaire et au bien-être des femmes.
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A sociologist and social worker by training, Cécile Coderre began her career at the University of Ottawa in 1983. She has held positions as Professor of Sociology, Professor and Director of the School of Social Work (1998-2003) and Associate Dean of the Faculty of Social Sciences. She has worked on issues related to violence against women, the Francophone women's movement in minority contexts, feminist and community-based approaches to intervention, and women's relationships with the state. She is also interested in the sociology of work and family, more specifically in women managers in large private and public companies. She is co-author of Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). As part of the activities to celebrate the fiftieth anniversary of the publication of Le Deuxième sexe, she co-edited the book Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. In her role as Associate Dean of Studies and Secretary, she has stimulated and supported the creation of new and innovative programs, sensitive to the concerns of emerging socio-political issues. She also initiated projects to enrich the student experience. In addition to her academic career, Cécile Coderre is involved in numerous associations dedicated to community development and women's welfare.

Cohen, Marjorie Griffin

  • Personne
Marjorie Griffin Cohen is currently a professor at the Simon Fraser University in British Columbia. She completed her BA at Iowa Wesleyan University, her MA at New York University, her PhD at York University. She is specialized in the areas of political economy and public policy. She works more specifically on issues concerning the Canadian economy, women, labour, electricity deregulation, energy and the environment, and international trade agreements.  She was director and has served on several boards and commissions in British Columbia. She participated to the creation of the Canadian Centre for Policy Alternatives in British Columbia. She has been involved for several years on the executive board of the National Action Committee on the Status of Women, as Vice President (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), treasurer (1977-79), Employment and Economy Committee Chair (1985-89), spokesperson Pro-Canada Network (1987-1990), co-chair Coalition Against Free Trade (1985-89) and editor Status of Women News (1977-1981).
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Marjorie Griffin Cohen est actuellement professeure à l'université Simon Fraser en Colombie-Britannique. Elle a obtenu sa licence à l'université de l'Iowa Wesleyan, sa maîtrise à l'université de New York et son doctorat à l'université de York. Elle est spécialisée dans les domaines de l'économie politique et des politiques publiques. Elle travaille plus particulièrement sur des questions concernant l'économie canadienne, les femmes, le travail, la déréglementation de l'électricité, l'énergie et l'environnement, et les accords commerciaux internationaux. Elle a été directrice et a siégé dans plusieurs conseils et commissions en Colombie-Britannique. Elle a participé à la création du Centre canadien de politiques alternatives en Colombie-Britannique. Elle a participé pendant plusieurs années au conseil exécutif du Comité national d'action sur le statut des femmes, en tant que vice-présidente (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), trésorière (1977-1979), présidente du comité sur l'emploi et l'économie (1985-1989), porte-parole du réseau Pro-Canada (1987-1990), coprésidente de la Coalition contre le libre-échange (1985-1989) et rédactrice en chef de Status of Women News (1977-1981).

Collectif de la revue l'Entrelles

  • Collectivité
  • 1978-1982
L’Entrelles est un collectif qui publie une revue destinée aux femmes de l’Outaouais. L’idée de fonder le collectif émerge à Hull au Québec le 2 décembre 1978, lorsqu’une cinquantaine de femmes se rencontrent suite à la publication de la politique d’ensemble sur la condition féminine au Québec rédigée par le Conseil sur le Statut de la Femme. Lors de la plénière, il est décidé que les femmes de l’Outaouais se donneront un outil de communication afin de briser leur isolement et mieux coordonner leurs énergies. Le 15 janvier 1979 parait le premier numéro sous le titre temporaire de « Femme d’ici », à 100 exemplaires. Le service de Consult-Action, du Conseil du Statut de la Femme assume l’impression et la distribution du premier numéro. Le deuxième numéro nommé définitivement « L’Entrelles » parait le 15 mars 1979. Les CLSC de l’Outaouais ont participé à son impression en 500 exemplaires. Une aide est également reçue de l’Association des Enseignants du Sud-Ouest Québécois.
La corporation a été constituée en 1980 pour « assurer la publication et la diffusion d’une revue régionale qui se préoccupe de la promotion de la femme dans tous les domaines possibles; offrir un outil de sensibilisation sur la condition féminine en général; susciter et promouvoir chez les femmes la création littéraire et artistique; réaliser toute autre activité en accord avec les objectifs précités; collaborer avec tout organisme et individu ayant des préoccupations similaires. » (Lettres Patentes, 1980). Le conseil d’administration permanent de la corporation était composé de 5 personnes.
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L'Entrelles is a collective that publishes a magazine for women in the Outaouais. The idea of founding the collective emerged in Hull, Quebec, on December 2, 1978, when some fifty women met following the publication of the overall policy on the status of women in Quebec drafted by the Conseil sur le Statut de la Femme. During the plenary session, it was decided that the women of the Outaouais would create a communication tool to break their isolation and better coordinate their energies. On January 15, 1979, the first issue was published under the temporary title of "Femme d'ici", with a circulation of 100 copies. The Consult-Action service of the Conseil du Statut de la Femme was responsible for the printing and distribution of the first issue. The second issue, definitively named "L'Entrelles", was published on March 15, 1979. The CLSCs of the Outaouais participated in the printing of 500 copies. Assistance was also received from the Association des Enseignants du Sud-Ouest Québécois.
The corporation was incorporated in 1980 to "ensure the publication and distribution of a regional magazine concerned with the promotion of women in all possible fields; to offer a tool for raising awareness of the status of women in general; to encourage and promote literary and artistic creation among women; to carry out any other activity in accordance with the aforementioned objectives; to collaborate with any organization or individual having similar concerns. (Letters Patent, 1980). The permanent board of directors of the corporation was composed of 5 people.

Colodny, Nikki

  • Personne
  • 1948-present
Dr. Nikki Colodny was a pro-choice activist, abortion provider, and women's health advocate operating in Toronto, Ontario throughout the 1980s and 1990s. In addition to working in the medical field at a time when most doctors were male, Dr. Colodny became somewhat of a public figure in Canada when she worked alongside Dr. Henry Morgentaler providing patients with abortions prior to 1988, when anti-choice legislation was struck from the Criminal Code. During this period, abortion clinics were frequently raided by the police, while abortion providers were harassed and sometimes even physically attacked by anti-choice activists. As a member of the Ontario Coalition for Abortion Clinics, Dr. Colodny travelled across the country to mentor pro-choice activists in civil disobedience and appeared in the media to combat medical misinformation.
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Dr Nikki Colodny était un militante pro-choix, pratiquant l'avortement et défendant la santé des femmes à Toronto (Ontario) dans les années 1980 et 1990. En plus de travailler dans le domaine médical à une époque où la plupart des médecins étaient des hommes, Dr. Colodny est devenue une figure publique au Canada lorsqu'elle a travaillé aux côtés du Dr Henry Morgentaler pour fournir des avortements à des patientes avant 1988, lorsque la législation anti-choix a été supprimée du Code criminel. Au cours de cette période, les cliniques d'avortement ont souvent fait l'objet de descentes de police, tandis que les professionnels de l'avortement étaient harcelés et parfois même physiquement attaqués par des militants anti-choix. En tant que membre de la Coalition ontarienne pour les cliniques d'avortement, le Dr Colodny a voyagé à travers le pays pour encadrer les militants pro-choix en matière de désobéissance civile et est apparu dans les médias pour lutter contre la désinformation médicale.

Comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels)

  • Collectivité
  • 1985-1992
Le comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) a été fondé en décembre 1985 avec pour mission de mobiliser et réunir des intervenants-tes intéressés-es par la problématique des abus sexuels. Les objectifs du comité étaient d'établir un réseau d'échange d'informations, de coordonner les ressources offertes en français en matière d'abus sexuels, de favoriser les références de la clientèle aux diverses ressources, de créer un centre de ressources et de documentation et finalement d'offrir de la formation professionnelle. Il est composé d'intervenants-tes sociaux provenant de différentes agences telles la Société de l'aide à l'enfance d'Ottawa-Carleton, le bureau des services à la jeunesse, le Centre psycho-social, le Centre des services communautaires de la Basse-Ville, l'Hôpital pour enfants de l'Est de l'Ontario, le Conseil Scolaire d'Ottawa.
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The RIFAS committee (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) was founded in December 1985 with the mission of mobilizing and bringing together interveners interested in the issue of sexual abuse. The committee's objectives were to establish a network for the exchange of information, to coordinate the resources available in French regarding sexual abuse, to promote referrals to the various resources, to create a resource and documentation center and finally to offer professional training. It is composed of social workers from different agencies such as the Children's Aid Society of Ottawa-Carleton, the Youth Services Bureau, the Psycho-social Centre, the Lowertown Community Services Centre, the Children's Hospital of Eastern Ontario and the Ottawa School Board.

Committee Against Pornography

  • Collectivité
  • 1984-199[?]

The Committee Against Pornography (CAP) was formed in February 1984 by Stephanie Holbick and Alison Kerr as a voluntary organization of Toronto women "concerned about the proliferation of pornographic images and messages in Canadian society." Most CAP members were also involved with other women's groups, but viewed the organization as a venue through which to focus more specifically on action against sexually explicit images of women that they viewed as harmful and degrading. CAP explored legal means of eliminating the sale and distribution of pornography in Canada. They argued that violent and degrading pornography encouraged violence against women, and represented women as the men's sexual playthings. In other words, they argued that pornography is one of the root causes of violence against women.

CAP thus falls squarely in the "anti-porn" camp of the feminist porn wars, in opposition to pro-sex or sex-positive feminists who rejected what they viewed as moral puritanism, and worried that censorship laws were a threat to the free speech of sexual minorities. The CAP defined pornography as any material which depicts a power relationship in order to sexually stimulate the viewer; however, they were not against erotica, which they defined as non-violent, non-degrading sexual material which does not use power relationships to stimulate the consumer. The group also sought tougher legislation surrounding child pornography, importation of pornographic material, and display of sexually explicit magazines in variety stores and other public places. CAP also provided other women's organizations with research, reports, and lobby material related to the censorship of pornography and public violence against women.
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Le Committee Against Pornography (CAP) a été créé en février 1984 par Stephanie Holbick et Alison Kerr en tant qu'organisation bénévole de femmes de Toronto "préoccupées par la prolifération des images et des messages pornographiques dans la société canadienne". La plupart des membres de CAP étaient également impliquées dans d'autres groupes de femmes, mais considéraient l'organisation comme un moyen de se concentrer plus spécifiquement sur l'action contre les images sexuellement explicites de femmes qu'elles considéraient comme nuisibles et dégradantes. La CAP a étudié les moyens juridiques d'éliminer la vente et la distribution de pornographie au Canada. Elle a fait valoir que la pornographie violente et dégradante encourageait la violence à l'égard des femmes et les représentait comme des jouets sexuels pour les hommes. En d'autres termes, ils ont affirmé que la pornographie était l'une des causes profondes de la violence à l'égard des femmes.

La CAP se situe donc carrément dans le camp "anti-porno" des guerres féministes du porno, en opposition aux féministes pro-sexe ou sex-positives qui rejetaient ce qu'elles considéraient comme un puritanisme moral et craignaient que les lois sur la censure ne menacent la liberté d'expression des minorités sexuelles. La PAC définit la pornographie comme tout matériel qui met en scène une relation de pouvoir dans le but de stimuler sexuellement le spectateur ; toutefois, elle n'est pas opposée à l'érotisme, qu'elle définit comme un matériel sexuel non violent et non dégradant qui n'utilise pas de relations de pouvoir pour stimuler le consommateur. Le groupe a également demandé une législation plus stricte concernant la pornographie enfantine, l'importation de matériel pornographique et l'exposition de magazines sexuellement explicites dans les magasins de variétés et autres lieux publics. La CAP a également fourni à d'autres organisations de femmes des recherches, des rapports et du matériel de lobbying concernant la censure de la pornographie et la violence publique à l'égard des femmes.

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