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Geauthoriseerde beschrijving

The University Women's Club of Ottawa

  • Instelling
  • 1910-
The University Women's Club of Ottawa was formed on 15 April, 1910. The purpose of the Club was to advance the interests of women and to serve the community in social, educational and cultural areas. The club awarded scholarships to secondary school and university students. It participated in the establishment of the Ottawa Little Theater, The Elizabeth Frye Society of Ottawa and the National School Volunteer Association. The Club presents the view of women on contemporary economic, social and cultural problems. It is affiliated with the Canadian Federation of University Women.
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Le University Women's Club d'Ottawa a été créé le 15 avril 1910. L'objectif du club est de promouvoir les intérêts des femmes et de servir la communauté dans les domaines social, éducatif et culturel. Le club attribue des bourses d'études à des élèves du secondaire et à des étudiants de l'université. Il participe à la création du Ottawa Little Theater, de la Société Elizabeth Frye d'Ottawa et de l'Association nationale des bénévoles des écoles. Le Club présente le point de vue des femmes sur les problèmes économiques, sociaux et culturels contemporains. Il est affilié à la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités.

Bazilli, Susan

  • Persoon
Susan Bazilli is a lawyer, author, educator, social entrepreneur and advocate, who has worked globally on issues of women's rights for more than 30 years. A graduate of Osgoode Hall Law School (LL.B.) and UBC (LL.M.), she lived and worked in South Africa from 1985-1991, and is the editor of the groundbreaking text "Putting Women on the Agenda: Women, Law and the Constitution in Southern Africa". From 1992 - 1997, she was the Legal Director of METRAC, The Metropolitan Committee on Violence Against Women in Toronto, Canada, and founded the Internet-based Ontario Women's Justice Network. In 1997 she became the first Executive Director of the California Alliance Against Domestic Violence. From 2003-2007, Susan was the Co-Director with Marilou McPhedran for the non-profit organization the International Women's Rights Project (IWRP) based in Vancouver, BC. Susan went on to become sole Director of IWRP from 2007 onwards (Susan is the Director at the time of writing in 2021). IWRP advocates for women’s human rights, strengthens Women’s NGOs in Canada and around the world, and encourages implementation of international human rights standards through collaboration, participatory research, and evidence-based advocacy on a project-by-project basis. In 2010 Susan was the Executive Producer and Writer for the documentary film Constitute!, a project of IWRP which documents women's constitutional activism for the Canadian Charter of Rights and Freedoms (Sections 15 and 18) on February 14th, 1981. Susan's international missions have included many UN missions and assignments on peace building, rule of law, gender based violence, sustainable development, international trans-boundary waters, gender mainstreaming within the Global Environment Facility, and gender equality laws in Mongolia and, South East Asia; women's human rights training in Bosnia, Lithuania and East Africa for Women Law and Development International; bilateral missions in Azerbaijan, Kyrgyzstan and Uzbekistan for the OSCE; trainings in ICTs for development in the Baltic and Balkan regions for USAID and CIDA; evaluating the use of CEDAW by grassroots NGOs; managing the gender program for the American Bar Association - CEELI Program in Russia; developing and coordinating a seven country Southern African Women's Legal Rights program. D).
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Susan Bazilli est avocate, auteure, éducatrice, entrepreneuse sociale et militante. Elle travaille depuis plus de 30 ans à l'échelle mondiale sur les questions relatives aux droits des femmes. Diplômée de l'Osgoode Hall Law School (LL.B.) et de l'UBC (LL.M.), elle a vécu et travaillé en Afrique du Sud de 1985 à 1991 et est l'éditrice de l'ouvrage novateur "Putting Women on the Agenda : Women, Law and the Constitution in Southern Africa". De 1992 à 1997, elle a été directrice juridique de METRAC, le Comité métropolitain sur la violence à l'égard des femmes, à Toronto, au Canada, et a fondé le Réseau de justice pour les femmes de l'Ontario, basé sur Internet. En 1997, elle est devenue la première directrice exécutive de l'Alliance californienne contre la violence domestique. De 2003 à 2007, Susan a été codirectrice, avec Marilou McPhedran, de l'organisation à but non lucratif International Women's Rights Project (IWRP), basée à Vancouver, en Colombie-Britannique. Susan est ensuite devenue la seule directrice de l'IWRP à partir de 2007 (Susan est la directrice au moment de la rédaction du présent document, en 2021). L'IWRP défend les droits humains des femmes, renforce les ONG de femmes au Canada et dans le monde, et encourage la mise en œuvre des normes internationales en matière de droits humains par le biais de la collaboration, de la recherche participative et d'un plaidoyer fondé sur des données probantes, projet par projet. En 2010, Susan a été productrice exécutive et scénariste du film documentaire Constitute !, un projet de l'IWRP qui documente l'activisme constitutionnel des femmes en faveur de la Charte canadienne des droits et libertés (articles 15 et 18) le 14 février 1981. Les missions internationales de Susan comprennent de nombreuses missions et affectations des Nations unies sur la consolidation de la paix, l'État de droit, la violence fondée sur le sexe, le développement durable, les eaux transfrontalières internationales, l'intégration de la dimension de genre dans le Fonds pour l'environnement mondial et les lois sur l'égalité des sexes en Mongolie et en Asie du Sud-Est ; la formation aux droits humains des femmes en Bosnie, en Lituanie et en Afrique de l'Est pour l'organisation Women Law and Development International ; missions bilatérales en Azerbaïdjan, au Kirghizstan et en Ouzbékistan pour l'OSCE ; formations aux TIC pour le développement dans les régions baltes et balkaniques pour l'USAID et l'ACDI ; évaluation de l'utilisation de la CEDAW par les ONG locales ; gestion du programme de genre pour l'American Bar Association - programme CEELI en Russie ; développement et coordination d'un programme de sept pays sur les droits juridiques des femmes en Afrique australe. D).

Quinlan, Judith

  • Persoon

Judith Quinlan is a graduate of the University of Alberta in Edmonton and was on the Student Council (1970) and was part of starting the first Edmonton Women's Centre and the Isis women's shelter while a student. After graduating, she moved to Vancouver and worked on the Pedestal Women's Newspaper. In 1972, she moved to Toronto and worked on The Other Woman newspaper, helped start the Toronto Women's Bookstore, was one of the founders of Cora the Women's Bookmobile, and the Toronto Women's Centre. Judith later wrote for Broadside and worked on the LOOT project. She started the All Girls Hit and Run Feminist Marching Band and joined the Wages for Housework group and started Wages Due Lesbians.

After stepping away from these groups, she wrote poetry and songs (including the Mama Quilla name song) and then moved to rural British Columbia, where she worked with the 100 Mile House Women's Centre, acted as the editor of The Open Door (Rural Lesbians of BC), and got involved in choirs and music teaching. She later moved back to Vancouver and then Victoria where she currently resides.
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Judith Quinlan est diplômée de l'université de l'Alberta à Edmonton. Elle a fait partie du conseil des étudiants (1970) et a participé à la création du premier centre des femmes d'Edmonton et du refuge pour femmes Isis alors qu'elle était étudiante. Après avoir obtenu son diplôme, elle s'est installée à Vancouver et a travaillé pour le Pedestal Women's Newspaper. En 1972, elle s'installe à Toronto et travaille pour le journal The Other Woman, participe à la création de la librairie des femmes de Toronto, est l'une des fondatrices de Cora, le bibliobus des femmes, et du Centre des femmes de Toronto. Judith a ensuite écrit pour Broadside et travaillé sur le projet LOOT. Elle a créé le All Girls Hit and Run Feminist Marching Band, a rejoint le groupe Wages for Housework et a lancé Wages Due Lesbians.

Après s'être éloignée de ces groupes, elle a écrit de la poésie et des chansons (y compris la chanson du nom de Mama Quilla) et s'est ensuite installée dans une région rurale de la Colombie-Britannique, où elle a travaillé avec le 100 Mile House Women's Centre, a été rédactrice en chef de The Open Door (Rural Lesbians of BC), et s'est impliquée dans des chorales et dans l'enseignement de la musique. Elle est ensuite retournée à Vancouver, puis à Victoria, où elle réside actuellement.

Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW)

  • Instelling
  • 1976 -

CRIAW-ICREF est « un institut de recherche qui offre des outils pour aider les organisations à agir afin de promouvoir la justice sociale et l’égalité pour toutes les femmes » (criaw-icref.ca, consulté le 3 juin 2021). CRIAW-ICREF est une organisation canadienne à but non lucratif basée sur les membres. Elle privilégie le développement de la recherche féministe et sa diffusion à des fins d’éducation et de défense de droits. Elle est la seule organisation féministe nationale bilingue au Canada privilégiant exclusivement la recherche.

L’ICREF été fondé par des féministes - universitaires, membres de la communauté et activistes - dans le sillage de l'Année internationale de la femme (1975) pour répondre au manque de recherches existantes sur les femmes et leurs expériences. Le congrès de fondation de l’organisation constitué de soixante-dix membres, s’est tenu à Ottawa en avril 1976. Durant ce congrès, les objectifs ont été établis, les statuts adoptés, un conseil d’administration élu, et le nom de la nouvelle organisation a été choisi, soit l’Institut canadien de recherches sur les femmes. En novembre 1976, une tribune sur la recherche et les femmes s’est tenue à l’Université Mount Saint Vincent à Halifax. Cette rencontre a constitué les prémices du colloque annuel de l’ICREF, qui se tiendra partout au Canada, de Halifax à Vancouver, jusqu’à Yellowknife. Les objectifs des membres fondateurs ont été « d’encourager, de coordonner et de diffuser la recherche sur le vécu des femmes et d’assurer à celles-ci une place égale dans l’ensemble des connaissances et des recherches sur le Canada, son peuple, sa culture, son économie et ses politiques » (Une brève histoire de l’ICREF, document préparé par Linda Clippingdale). Dès 1977, l’Institut prépare sa première publication, un répertoire de la recherche sur les femmes et le travail sous la direction de Susan Mann Trofimenkoff. Dès 1978, l’ICREF a décerné un certain nombre de subventions chaque année, finançant ainsi des centaines de projets entrepris par des chercheuses communautaires et universitaires. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff et Francine Fournier sont devenues les premières membres honoraires de l’ICREF en 1980. Entre autres, un prix nommé en l’honneur de Muriel Duckworth (présidente de l’ICREF de 1979 à 1980) a été mis en place. L’ICREF a lancé deux séries de documents. "Les Documents de l’ICREF" sont parus pour la première fois en 1980, et "Perspectives féministes" a vu le jour en 1985. En 1981, l’ICREF commence a publié un Bulletin trimestriel à l’intension de ses membres. En 1982, il publie pour la première fois les Actes de son colloque.

Les premières années de l’ICREF ont été marquées par la recherche d’une source de financement stable. En 1979, l’ICREF obtient une aide financière au fonctionnement conséquente du Programme de promotion de la femme du Secrétariat d’État, qui lui permet d’acquérir une stabilité financière. Ainsi, l’ICREF déménage, engage du personnel et peut ainsi offrir une gamme plus étendue de services à ses membres. Cependant au-delà du financement reçu du gouvernement canadien, et depuis ses débuts, les activités de l’Institut ont été financées par diverses sources, notamment par des dons, les cotisations des membres, la vente de publications, mais également grâce au soutien de diverses associations telles que l’Association des Universités et Collèges du Canada.

Dans les années 1990, l’ICREF a modifié ses pratiques pour une plus grande inclusivité. Face aux multiples formes d’inégalités et d’oppression non prises en compte par le mouvement des femmes, l’organisation a réfléchi à l’application de l’intersectionnalité dans ses programmes et sa structure organisationnelle. Plusieurs conférences ont vu le jour (Femmes et handicap en 1990; Faire les liens en 1992). Les structures organisationnelles de l’ICREF ont fait l’objet d’un examen, et un comité d’éthique de la recherche a vu le jour (1994). Dans le début des années 2000, l’ICREF a souhaité intensifier ses efforts pour une analyse féministe intégrée (AFI) plus approfondie. Ainsi, l’organisation a restructuré son conseil d’administration (2001) pour une représentation plus diversifiée des groupes d’équité identifiés : femmes racisées, femmes en situation de handicap, lesbiennes et les bisexuelles, femmes transgenres, femmes autochtones, une plus grande représentation régionale, membres du conseil d’administration représenté par au moins 25% de francophones). Elle a également élaboré un plan stratégique centré sur la question de l’intersectionnalité.

L’ICREF a soutenu et mené de nombreux projets de recherche portant sur les femmes au Canada. Vers le milieu de sa première décennie, l’ICREF a mis au point deux grands projets : la Banque de chercheuses et le Répertoire des périodiques pour femmes canadiennes. Les membres de l’ICREF ont présenté de nombreux mémoires au nom de l’égalité des femmes, notamment des mémoires au CRTC sur le sexisme dans les médias, au Groupe d’étude fédéral-provincial sur les victimes du crime, au Comité fédéral d’examen de la politique culturelle, à la Commission MacDonald, au Groupe d’étude fédéral sur la garde des enfants, et à la Commission royale d’enquête sur les nouvelles technologies de reproduction. Parmi les nombreux projets entrepris, l’ICREF a participé à : l’étude pilote « La participation des femmes à la vie politique » commandée par l’UNESCO (1985-1988); une trousse de ressources communautaires sur les nouvelles technologies de reproduction qui a servi à la préparation des mémoires pour la Commission royale sur les nouvelles technologies de reproduction (1988-1990); la participation des femmes canadiennes à la Conférence mondiale sur les femmes de 1995 à Beijing; une recherche-action participative sur les effets sociaux, politiques et culturels du développement économique dans le nord du Canada pour les femmes (FemNorthNet); une recherche pancanadienne sur les impacts des changements dans l’emploi et la prestation des services publics sur les femmes (Changing Public Services).

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CRIAW-ICREF is "a research institute that provides tools to help organizations take action to promote social justice and equality for all women" (criaw-icref.ca, accessed June 3, 2021). CRIAW-ICREF is a Canadian non-profit, member-based organization. It depends on the support of its members and donors. It focuses on the development of feminist research and its dissemination for educational and advocacy purposes. It is the only national bilingual feminist organization in Canada that focuses exclusively on research.

CRIAW was founded by feminists, academics, community members and activists, in the wake of International Women's Year (1975) to address the lack of existing research on women and their experiences. The founding conference, with seventy members, was held in Ottawa in April 1976. During this conference, objectives were established, by-laws adopted, a Board of Directors elected, and the name of the new organization was chosen, the Canadian Research Institute for the Advancement of Women. In November 1976, a forum on research and women was held at Mount Saint Vincent University in Halifax. This meeting was the beginning of CRIAW's annual conference, which will be held across Canada from Halifax to Vancouver to Yellowknife. The objectives of the founding members were "to encourage, coordinate and disseminate research on women's experiences and to ensure that women have an equal place in the body of knowledge and research on Canada, its people, culture, economy and politics" (A Brief History of CRIAW, prepared by Linda Clippingdale). By 1977, the Institute was preparing its first publication, an inventory of research on women and work, edited by Susan Mann Trofimenkoff. Beginning in 1978, CRIAW awarded several grants each year, funding hundreds of projects undertaken by community and academic researchers. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff and Francine Fournier became CRIAW's first honorary members in 1980. Among other prices, an award named in honour of Muriel Duckworth (CRIAW president from 1979 to 1980) was established. CRIAW launched two series of documents. “CRIAW Papers” was first published in 1980 and “Feminist Perspectives” was launched in 1985. In 1981, CRIAW began publishing a quarterly newsletter for its members. In 1982, it published its first conference proceedings.

CRIAW's early years were marked by the search for a stable source of funding. In 1979, CRIAW received substantial operating funding from the Secretary of State's Women's Program, which gave it financial stability. CRIAW moved, hired staff and was able to offer a wider range of services to its members. However, beyond the funding received from the Canadian government, since its inception, the Institute's activities have been funded from a variety of sources, including donations, membership fees, sales of publications, and support from various associations such as the Association of Universities and Colleges of Canada.

In the 1990s, CRIAW changed its practices to become more inclusive. In front of multiple forms of inequality and oppression not addressed by the women's movement, the organization reflected on the application of intersectionality in its programs and organizational structure. Several conferences were held (Women and Disability in 1990; Making the Links in 1992). CRIAW's organizational structures were reviewed, and a research ethics committee was established (1994). In the early 2000s, CRIAW wanted to intensify its efforts towards a more in-depth integrated feminist analysis (IFA). Thus, the organization restructured its Board of Directors (2001) to ensure a more diverse representation of identified equity groups: racialized women, women with disabilities, lesbian and bisexual women, transgendered women, Aboriginal women, greater regional representation, and at least 25% Francophone board members). It has also developed a strategic plan that focuses on the issue of intersectionality.

CRIAW has supported and conducted numerous research projects related to women in Canada. Midway through its first decade, CRIAW developed two major projects: the Women's Research Bank and the Canadian Women's Periodical Directory. CRIAW members have made numerous submissions on behalf of women's equality, including submissions to the CRTC on sexism in the media, the Federal-Provincial Task Force on Victims of Crime, the Federal Cultural Policy Review Committee, the MacDonald Commission, the Federal Task Force on Child Care, and the Royal Commission on New Reproductive Technologies. Among the many projects undertaken, CRIAW has participated in: the pilot study " Women’s Involvement in Political Life" commissioned by UNESCO (1985-1988); a community resource kit on new reproductive technologies that was used to prepare briefs for the Royal Commission on New Reproductive Technologies (1988-1990); Canadian women's participation in the 1995 World Conference on Women in Beijing; participatory action research on the social, political and cultural effects of economic development in northern Canada on women (FemNorthNet); pan-Canadian research on the impacts of changes in employment and public service delivery on women (Changing Public Services).

Canadian Women's Health Network

  • Canada
  • Instelling
  • 1993-2017

The Canadian Women’s Health Network (CWHN) was established by a group of women representing 70 organizations that worked within the women’s health movement. The CWHNN consisted of a network of individuals, groups and organizations working to address gender inequality in health systems–both within Canada and around the world. The organization aimed to provide women-centred health information through networking, resource-sharing, education, and advocacy.

The Canadian Women’s Health Network also addressed contemporary issues relating to women’s health, including inequitable health policies and practices. The organization disseminated health information online and established its ‘Clearinghouse,’ a centralized collection of women-centred health resources and networks. The CWHN’s branches of activities also included the production of “Network/Le Réseau,” a bilingual health magazine.

The CWHN conducted extended community outreach to speak to women’s health and health issues in diverse contexts. The organization also worked within the Women’s Health Contribution Program, Health Canada, and communicated the researching findings of its affiliated partners, such as the Centres of Excellence for Women’s Health and le Réseau québécois d’action pour la santé des femmes.

The CWHN consisted of a Coordinating Committee, as well as a Board of Directors. The CWHN suspended operations in 2014 due to lack of federal funding; the Board of Directors continued to operate for several years, before closing permanently in 2017.
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Le Réseau canadien pour la santé des femmes (RCSF) a été créé par un groupe de femmes représentant 70 organisations actives dans le domaine de la santé des femmes. Le RCSF est un réseau d'individus, de groupes et d'organisations qui s'efforcent de remédier aux inégalités entre les sexes dans les systèmes de santé, tant au Canada que dans le monde entier. L'organisation vise à fournir des informations sur la santé des femmes par le biais du réseautage, du partage des ressources, de l'éducation et de la défense des droits.

Le Réseau canadien pour la santé des femmes s'intéresse également aux questions contemporaines liées à la santé des femmes, notamment aux politiques et pratiques de santé inéquitables. L'organisation diffuse des informations sur la santé en ligne et a créé son ""centre d'information"", une collection centralisée de ressources et de réseaux sur la santé des femmes. Les activités du RCSF comprennent également la production de ""Network/Le Réseau"", un magazine bilingue sur la santé.

Le RCSF a étendu ses activités à la communauté pour parler de la santé des femmes et des problèmes de santé dans divers contextes. L'organisation a également travaillé au sein du Programme de contribution pour la santé des femmes de Santé Canada et a communiqué les résultats de recherche de ses partenaires affiliés, tels que les Centres d'excellence pour la santé des femmes et le Réseau québécois d'action pour la santé des femmes.

Le RCSF est composé d'un comité de coordination et d'un conseil d'administration. Le RCSF a suspendu ses activités en 2014 en raison d'un manque de financement fédéral ; le conseil d'administration a continué à fonctionner pendant plusieurs années, avant de fermer définitivement ses portes en 2017.

Webb, Nancy

  • Canada
  • Persoon
  • 1946-

Nancy Webb graduated from high school in 1963 and immediately entered the workforce. She was employed, at age 18, as a secretary for an electronics corporation in Etobicoke, Ontario. In 1979, Nancy Webb enrolled at York University while also working full-time, and later, while parenting her daughter; she graduated from York University in 1991.

In the spring of 1985 Nancy Webb attended a Women’s Studies’ course, Social Sciences 3580.06, taught by Dr. Meg Luxton. Subsequently, Nancy Webb worked as Fundraising and Community Relations Coordinator for the Elizabeth Fry Society in Toronto, for 30 years.

From ca. 1978-1980 Nancy also volunteered with the Lesbian Organization of Toronto. In 1984, she was part of the founding collective of the Notso Amazon Softball League in Toronto.
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Nancy Webb a obtenu son diplôme d'études secondaires en 1963 et est immédiatement entrée dans la vie active. À l'âge de 18 ans, elle est employée comme secrétaire dans une entreprise d'électronique à Etobicoke, en Ontario. En 1979, Nancy Webb s'est inscrite à l'université York tout en travaillant à temps plein, et plus tard, tout en élevant sa fille ; elle a obtenu son diplôme de l'université York en 1991.

Au printemps 1985, Nancy Webb a suivi un cours d'études féminines, Sciences sociales 3580.06, enseigné par le Dr Meg Luxton. Par la suite, Nancy Webb a travaillé comme coordinatrice de la collecte de fonds et des relations communautaires pour la Société Elizabeth Fry à Toronto, pendant 30 ans.

De 1978 à 1980 environ, Nancy a également travaillé comme bénévole pour la Lesbian Organization of Toronto. En 1984, elle a fait partie du collectif fondateur de la Notso Amazon Softball League à Toronto.

Working Women Community Centre

  • CA
  • Instelling
  • 1976-

In 1974 Toronto newcomer, Tamam McCallum, founded Working Women Community Centre (WWCC) in Toronto's west end, to address the lack of employment services for immigrant women in Canada. In June 1976, the newly opened WWCC organization acted primarily as an employment agency to help newcomer women with pre-employment and employment counselling. The Centre initially serviced newcomers hailing primarily from the Caribbean, Portugal, Spain, and South America as well as Central America. The Centre was originally named the Women’s Community Employment Centre.

Over its nearly 50 years of operation, WWCC has offered English as a Second Language (ESL) services as well as innovative employment programs. In 1978, WWCC sponsored the Working Skills Centre, a mailroom on-the-job training program for newcomer women. From 1980-1985, WWCC created the Modistas Unidas Workshop, an informal collective of skilled Portuguese-speaking dressmakers that designed an exclusive line of women’s clothing. WWCC also partnered with Humber College to offer the Electronics Assembler Program [Immigrant Women Into Electronics] from 1985-1989, providing immigrant women with skills for entry-level electronics positions.

As of 2014, WWCC serves all newcomer communities across the city, with four different offices located across Toronto.
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En 1974, Tamam McCallum, une nouvelle arrivante de Toronto, a fondé le Working Women Community Centre (WWCC) dans le quartier ouest de Toronto, afin de remédier au manque de services d'aide à l'emploi pour les femmes immigrées au Canada. L'organisation WWCC, qui venait d'ouvrir ses portes officiellement en 1976, agissait principalement en tant qu'agence pour l'emploi afin d'aider les femmes nouvellement arrivées à obtenir des conseils en matière de pré-emploi et d'emploi. Le Centre a d'abord servi les nouvelles arrivantes originaires principalement des Caraïbes, du Portugal, de l'Espagne, de l'Amérique du Sud et de l'Amérique centrale. Le centre s'appelait à l'origine le Women's Community Employment Centre (Centre d'emploi communautaire pour les femmes).

Au cours de ses presque 50 ans d'existence, le WWCC a offert des services d'anglais langue seconde (ESL) ainsi que des programmes d'emploi novateurs. En 1978, le WWCC a parrainé le Working Skills Centre, un programme de formation en cours d'emploi dans une salle de courrier pour les femmes nouvellement arrivées. De 1980 à 1985, le WWCC a créé l'atelier Modistas Unidas, un collectif informel de couturières portugaises qualifiées qui ont conçu une ligne exclusive de vêtements pour femmes. Le WWCC s'est également associé au Humber College pour proposer le programme d'assemblage électronique [Immigrant Women Into Electronics] de 1985 à 1989, permettant aux femmes immigrées d'acquérir des compétences pour occuper des postes d'entrée dans l'électronique.

Depuis 2014, le WWCC dessert toutes les communautés de nouveaux arrivants de la ville, avec quatre bureaux différents situés à Toronto.

Fallding, Helen

  • Persoon
Helen Fallding is an activist for human rights, gay and lesbian rights. She is a journalist. She was the first coordinator of the women's centre at the University of Toronto. She also coordinated the Women's Centre in Victoria, B..C.. She helped the Carcross-Tagish First Nation to negociate a land claim. She co-founded Yukon's first organization and was founding manager of the University of Manitoba Centre for Human Rights Research. She worked as a journalist for the Northern Native Broadcasting Yukon and Winnipeg Free Press. She won awards for feminist activism and for journalism.
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Helen Fallding est une militante des droits de l'homme et des droits des homosexuels. Elle est journaliste. Elle a été la première coordinatrice du centre des femmes de l'université de Toronto. Elle a également coordonné le Centre des femmes de Victoria, en Colombie-Britannique. Elle a aidé la Première nation Carcross-Tagish à négocier une revendication territoriale. Elle a cofondé la première organisation du Yukon et a été directrice fondatrice du Centre de recherche sur les droits de l'homme de l'Université du Manitoba. Elle a travaillé comme journaliste pour Northern Native Broadcasting Yukon et Winnipeg Free Press. Elle a été récompensée pour son militantisme féministe et son journalisme.

Sumach Press

  • Instelling
  • 2000-2009

In 2000, several members of Second Story Feminist Press branched off to create their own publishing organization, Sumach Press. Publishing rights for select titles were also transferred to the new company, which was owned and operated by Beth McAuley, Lois Pike, and Liz Martin, in Toronto, Ontario.

Sumach Press was integral to Canada’s small feminist press scene, publishing a wide array of works written by and about women and that reached both national and international readerships. Titles explored diverse subjects such as health, history, politics, and sexuality. Sumach Press’ works encompassed literary fiction, mystery novels, cookbooks, and scholarly publications.

Its Women’s Issues Publishing Program featured feminist titles that promoted a more humane and equitable society, exploring issues of race, gender, and class. Sumach Press’ literacy fiction works reached both adult and young adult readers. In 2009, Sumach Press was acquired by Canadian Scholars' Press Inc. /Women’s Press.
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En 2000, plusieurs membres de Second Story Feminist Press ont créé leur propre maison d'édition, Sumach Press. Les droits d'édition de certains titres ont également été transférés à la nouvelle société, détenue et gérée par Beth McAuley, Lois Pike et Liz Martin, à Toronto (Ontario).

Sumach Press a fait partie intégrante de la petite presse féministe du Canada, publiant un large éventail d'ouvrages écrits par des femmes et sur des femmes, qui ont atteint un lectorat national et international. Les titres exploraient des sujets divers tels que la santé, l'histoire, la politique et la sexualité. Les travaux de Sumach Press englobent la fiction littéraire, les romans policiers, les livres de cuisine et les publications scientifiques.
Son programme de publication sur les questions féminines propose des titres féministes qui promeuvent une société plus humaine et plus équitable, en explorant les questions de race, de genre et de classe. Les ouvrages d'alphabétisation et de fiction de Sumach Press s'adressent à la fois aux adultes et aux jeunes adultes. En 2009, Sumach Press a été rachetée par Canadian Scholars' Press Inc. /Women's Press.

Erola, Judith

  • Canada
  • Persoon
  • 1934-

Judith Erola (née Jacobson) was born on January 16, 1934, to a dairy farming family, in Sudbury, Ontario. She began her broadcasting career at the CHNO Sudbury radio station, before moving on to CKSO-TV, working as Canada’s first woman weather reporter. Judith married Sudbury marina owner, Vic Erola, with whom she had two daughters. She worked both part-time and full-time for CHNO, writing advertising copy and then acting as community director and broadcasting account executive.

After the death of her husband, in 1977, Judith Erola entered politics, becoming the Nickel Belt, Ontario, federal Liberal Party representative. She lost the 1979 federal election but then was elected in 1980, with the fall of the minority government.

During her four years in office, Judith Erola was appointed to the Cabinet of Canada; she served as Minister of State for Mines (1980-1983), Minister responsible for the Status of Women (1981-1984), and Minister of Consumer and Corporate Affairs (1983-1984).

As the first woman ever appointed Minister responsible for the Status of Women, Judith Erola championed gender equality rights within the Canadian Charter of Rights and Freedoms, specifically Section Twenty-Eight. She also supported improvements to maternity leave, laws against domestic violence, and reforms to the Indian Act.
As Minister of Mines, Erola changed the Canada Labour Code to allow women to work underground in mines. She also placed federally regulated mines under stricter provincial health and safety laws.

After her 1984 electoral defeat, Judith Erola became president of the Pharmaceutical Manufacturers' Association of Canada, in 1987. She has received honourary degrees from numerous institutions, including doctorate degrees from: Mount St. Vincent University, Laurentian University, the University of Ottawa, and Carleton University. Judith Erola is a Life Member of the Federation of Medical Women of Canada and of Science North Sudbury. She has also served as president and board member for numerous health institutes as well as serving on the board of Equal Voice, an organization that continues to advocate for women in politics.
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Judith Erola (née Jacobson) est née le 16 janvier 1934 à Sudbury, en Ontario, dans une famille de producteurs laitiers. Elle a commencé sa carrière de radiodiffuseur à la station de radio CHNO de Sudbury, avant de passer à CKSO-TV, où elle a été la première femme présentatrice de la météo au Canada. Judith a épousé Vic Erola, propriétaire d'une marina à Sudbury, avec qui elle a eu deux filles. Elle travaille à temps partiel et à temps plein pour CHNO, rédigeant des textes publicitaires, puis assumant les fonctions de directrice de la communauté et de chargée de compte pour la radiodiffusion.

Après la mort de son mari, en 1977, Judith Erola s'est lancée dans la politique, devenant la représentante du Parti libéral fédéral de Nickel Belt, en Ontario. Elle perd les élections fédérales de 1979, mais est élue en 1980, à la chute du gouvernement minoritaire.

Au cours de ses quatre années de mandat, Judith Erola a été nommée au Cabinet du Canada ; elle a été ministre d'État aux mines (1980-1983), ministre responsable de la condition féminine (1981-1984) et ministre de la consommation et des affaires commerciales (1983-1984).

En tant que première femme nommée ministre responsable de la condition féminine, Judith Erola a défendu les droits à l'égalité des sexes dans le cadre de la Charte canadienne des droits et libertés, en particulier l'article 28. Elle a également soutenu l'amélioration du congé de maternité, les lois contre la violence domestique et les réformes de la loi sur les Indiens.
En tant que ministre des Mines, Mme Erola a modifié le Code canadien du travail pour permettre aux femmes de travailler sous terre dans les mines. Elle a également soumis les mines sous réglementation fédérale à des lois provinciales plus strictes en matière de santé et de sécurité.

Après sa défaite électorale de 1984, Judith Erola est devenue présidente de l'Association de l'industrie pharmaceutique du Canada en 1987. Elle a reçu des diplômes honorifiques de nombreuses institutions, notamment des doctorats de l'université Mount St. Vincent, de l'université Laurentienne, de l'université d'Ottawa et de l'université Carleton. Judith Erola est membre à vie de la Fédération des femmes médecins du Canada et de Science Nord Sudbury. Elle a également été présidente et membre du conseil d'administration de nombreux instituts de santé et a siégé au conseil d'administration d'Equal Voice, une organisation qui continue à défendre la cause des femmes en politique.

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