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Authority record

The University Women's Club of Ottawa

  • Corporate body
  • 1910-
The University Women's Club of Ottawa was formed on 15 April, 1910. The purpose of the Club was to advance the interests of women and to serve the community in social, educational and cultural areas. The club awarded scholarships to secondary school and university students. It participated in the establishment of the Ottawa Little Theater, The Elizabeth Frye Society of Ottawa and the National School Volunteer Association. The Club presents the view of women on contemporary economic, social and cultural problems. It is affiliated with the Canadian Federation of University Women.
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Le University Women's Club d'Ottawa a été créé le 15 avril 1910. L'objectif du club est de promouvoir les intérêts des femmes et de servir la communauté dans les domaines social, éducatif et culturel. Le club attribue des bourses d'études à des élèves du secondaire et à des étudiants de l'université. Il participe à la création du Ottawa Little Theater, de la Société Elizabeth Frye d'Ottawa et de l'Association nationale des bénévoles des écoles. Le Club présente le point de vue des femmes sur les problèmes économiques, sociaux et culturels contemporains. Il est affilié à la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités.

Bazilli, Susan

  • Person
Susan Bazilli is a lawyer, author, educator, social entrepreneur and advocate, who has worked globally on issues of women's rights for more than 30 years. A graduate of Osgoode Hall Law School (LL.B.) and UBC (LL.M.), she lived and worked in South Africa from 1985-1991, and is the editor of the groundbreaking text "Putting Women on the Agenda: Women, Law and the Constitution in Southern Africa". From 1992 - 1997, she was the Legal Director of METRAC, The Metropolitan Committee on Violence Against Women in Toronto, Canada, and founded the Internet-based Ontario Women's Justice Network. In 1997 she became the first Executive Director of the California Alliance Against Domestic Violence. From 2003-2007, Susan was the Co-Director with Marilou McPhedran for the non-profit organization the International Women's Rights Project (IWRP) based in Vancouver, BC. Susan went on to become sole Director of IWRP from 2007 onwards (Susan is the Director at the time of writing in 2021). IWRP advocates for women’s human rights, strengthens Women’s NGOs in Canada and around the world, and encourages implementation of international human rights standards through collaboration, participatory research, and evidence-based advocacy on a project-by-project basis. In 2010 Susan was the Executive Producer and Writer for the documentary film Constitute!, a project of IWRP which documents women's constitutional activism for the Canadian Charter of Rights and Freedoms (Sections 15 and 18) on February 14th, 1981. Susan's international missions have included many UN missions and assignments on peace building, rule of law, gender based violence, sustainable development, international trans-boundary waters, gender mainstreaming within the Global Environment Facility, and gender equality laws in Mongolia and, South East Asia; women's human rights training in Bosnia, Lithuania and East Africa for Women Law and Development International; bilateral missions in Azerbaijan, Kyrgyzstan and Uzbekistan for the OSCE; trainings in ICTs for development in the Baltic and Balkan regions for USAID and CIDA; evaluating the use of CEDAW by grassroots NGOs; managing the gender program for the American Bar Association - CEELI Program in Russia; developing and coordinating a seven country Southern African Women's Legal Rights program. D).
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Susan Bazilli est avocate, auteure, éducatrice, entrepreneuse sociale et militante. Elle travaille depuis plus de 30 ans à l'échelle mondiale sur les questions relatives aux droits des femmes. Diplômée de l'Osgoode Hall Law School (LL.B.) et de l'UBC (LL.M.), elle a vécu et travaillé en Afrique du Sud de 1985 à 1991 et est l'éditrice de l'ouvrage novateur "Putting Women on the Agenda : Women, Law and the Constitution in Southern Africa". De 1992 à 1997, elle a été directrice juridique de METRAC, le Comité métropolitain sur la violence à l'égard des femmes, à Toronto, au Canada, et a fondé le Réseau de justice pour les femmes de l'Ontario, basé sur Internet. En 1997, elle est devenue la première directrice exécutive de l'Alliance californienne contre la violence domestique. De 2003 à 2007, Susan a été codirectrice, avec Marilou McPhedran, de l'organisation à but non lucratif International Women's Rights Project (IWRP), basée à Vancouver, en Colombie-Britannique. Susan est ensuite devenue la seule directrice de l'IWRP à partir de 2007 (Susan est la directrice au moment de la rédaction du présent document, en 2021). L'IWRP défend les droits humains des femmes, renforce les ONG de femmes au Canada et dans le monde, et encourage la mise en œuvre des normes internationales en matière de droits humains par le biais de la collaboration, de la recherche participative et d'un plaidoyer fondé sur des données probantes, projet par projet. En 2010, Susan a été productrice exécutive et scénariste du film documentaire Constitute !, un projet de l'IWRP qui documente l'activisme constitutionnel des femmes en faveur de la Charte canadienne des droits et libertés (articles 15 et 18) le 14 février 1981. Les missions internationales de Susan comprennent de nombreuses missions et affectations des Nations unies sur la consolidation de la paix, l'État de droit, la violence fondée sur le sexe, le développement durable, les eaux transfrontalières internationales, l'intégration de la dimension de genre dans le Fonds pour l'environnement mondial et les lois sur l'égalité des sexes en Mongolie et en Asie du Sud-Est ; la formation aux droits humains des femmes en Bosnie, en Lituanie et en Afrique de l'Est pour l'organisation Women Law and Development International ; missions bilatérales en Azerbaïdjan, au Kirghizstan et en Ouzbékistan pour l'OSCE ; formations aux TIC pour le développement dans les régions baltes et balkaniques pour l'USAID et l'ACDI ; évaluation de l'utilisation de la CEDAW par les ONG locales ; gestion du programme de genre pour l'American Bar Association - programme CEELI en Russie ; développement et coordination d'un programme de sept pays sur les droits juridiques des femmes en Afrique australe. D).

Quinlan, Judith

  • Person

Judith Quinlan is a graduate of the University of Alberta in Edmonton and was on the Student Council (1970) and was part of starting the first Edmonton Women's Centre and the Isis women's shelter while a student. After graduating, she moved to Vancouver and worked on the Pedestal Women's Newspaper. In 1972, she moved to Toronto and worked on The Other Woman newspaper, helped start the Toronto Women's Bookstore, was one of the founders of Cora the Women's Bookmobile, and the Toronto Women's Centre. Judith later wrote for Broadside and worked on the LOOT project. She started the All Girls Hit and Run Feminist Marching Band and joined the Wages for Housework group and started Wages Due Lesbians.

After stepping away from these groups, she wrote poetry and songs (including the Mama Quilla name song) and then moved to rural British Columbia, where she worked with the 100 Mile House Women's Centre, acted as the editor of The Open Door (Rural Lesbians of BC), and got involved in choirs and music teaching. She later moved back to Vancouver and then Victoria where she currently resides.
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Judith Quinlan est diplômée de l'université de l'Alberta à Edmonton. Elle a fait partie du conseil des étudiants (1970) et a participé à la création du premier centre des femmes d'Edmonton et du refuge pour femmes Isis alors qu'elle était étudiante. Après avoir obtenu son diplôme, elle s'est installée à Vancouver et a travaillé pour le Pedestal Women's Newspaper. En 1972, elle s'installe à Toronto et travaille pour le journal The Other Woman, participe à la création de la librairie des femmes de Toronto, est l'une des fondatrices de Cora, le bibliobus des femmes, et du Centre des femmes de Toronto. Judith a ensuite écrit pour Broadside et travaillé sur le projet LOOT. Elle a créé le All Girls Hit and Run Feminist Marching Band, a rejoint le groupe Wages for Housework et a lancé Wages Due Lesbians.

Après s'être éloignée de ces groupes, elle a écrit de la poésie et des chansons (y compris la chanson du nom de Mama Quilla) et s'est ensuite installée dans une région rurale de la Colombie-Britannique, où elle a travaillé avec le 100 Mile House Women's Centre, a été rédactrice en chef de The Open Door (Rural Lesbians of BC), et s'est impliquée dans des chorales et dans l'enseignement de la musique. Elle est ensuite retournée à Vancouver, puis à Victoria, où elle réside actuellement.

Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW)

  • Corporate body
  • 1976 -

CRIAW-ICREF est « un institut de recherche qui offre des outils pour aider les organisations à agir afin de promouvoir la justice sociale et l’égalité pour toutes les femmes » (criaw-icref.ca, consulté le 3 juin 2021). CRIAW-ICREF est une organisation canadienne à but non lucratif basée sur les membres. Elle privilégie le développement de la recherche féministe et sa diffusion à des fins d’éducation et de défense de droits. Elle est la seule organisation féministe nationale bilingue au Canada privilégiant exclusivement la recherche.

L’ICREF été fondé par des féministes - universitaires, membres de la communauté et activistes - dans le sillage de l'Année internationale de la femme (1975) pour répondre au manque de recherches existantes sur les femmes et leurs expériences. Le congrès de fondation de l’organisation constitué de soixante-dix membres, s’est tenu à Ottawa en avril 1976. Durant ce congrès, les objectifs ont été établis, les statuts adoptés, un conseil d’administration élu, et le nom de la nouvelle organisation a été choisi, soit l’Institut canadien de recherches sur les femmes. En novembre 1976, une tribune sur la recherche et les femmes s’est tenue à l’Université Mount Saint Vincent à Halifax. Cette rencontre a constitué les prémices du colloque annuel de l’ICREF, qui se tiendra partout au Canada, de Halifax à Vancouver, jusqu’à Yellowknife. Les objectifs des membres fondateurs ont été « d’encourager, de coordonner et de diffuser la recherche sur le vécu des femmes et d’assurer à celles-ci une place égale dans l’ensemble des connaissances et des recherches sur le Canada, son peuple, sa culture, son économie et ses politiques » (Une brève histoire de l’ICREF, document préparé par Linda Clippingdale). Dès 1977, l’Institut prépare sa première publication, un répertoire de la recherche sur les femmes et le travail sous la direction de Susan Mann Trofimenkoff. Dès 1978, l’ICREF a décerné un certain nombre de subventions chaque année, finançant ainsi des centaines de projets entrepris par des chercheuses communautaires et universitaires. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff et Francine Fournier sont devenues les premières membres honoraires de l’ICREF en 1980. Entre autres, un prix nommé en l’honneur de Muriel Duckworth (présidente de l’ICREF de 1979 à 1980) a été mis en place. L’ICREF a lancé deux séries de documents. "Les Documents de l’ICREF" sont parus pour la première fois en 1980, et "Perspectives féministes" a vu le jour en 1985. En 1981, l’ICREF commence a publié un Bulletin trimestriel à l’intension de ses membres. En 1982, il publie pour la première fois les Actes de son colloque.

Les premières années de l’ICREF ont été marquées par la recherche d’une source de financement stable. En 1979, l’ICREF obtient une aide financière au fonctionnement conséquente du Programme de promotion de la femme du Secrétariat d’État, qui lui permet d’acquérir une stabilité financière. Ainsi, l’ICREF déménage, engage du personnel et peut ainsi offrir une gamme plus étendue de services à ses membres. Cependant au-delà du financement reçu du gouvernement canadien, et depuis ses débuts, les activités de l’Institut ont été financées par diverses sources, notamment par des dons, les cotisations des membres, la vente de publications, mais également grâce au soutien de diverses associations telles que l’Association des Universités et Collèges du Canada.

Dans les années 1990, l’ICREF a modifié ses pratiques pour une plus grande inclusivité. Face aux multiples formes d’inégalités et d’oppression non prises en compte par le mouvement des femmes, l’organisation a réfléchi à l’application de l’intersectionnalité dans ses programmes et sa structure organisationnelle. Plusieurs conférences ont vu le jour (Femmes et handicap en 1990; Faire les liens en 1992). Les structures organisationnelles de l’ICREF ont fait l’objet d’un examen, et un comité d’éthique de la recherche a vu le jour (1994). Dans le début des années 2000, l’ICREF a souhaité intensifier ses efforts pour une analyse féministe intégrée (AFI) plus approfondie. Ainsi, l’organisation a restructuré son conseil d’administration (2001) pour une représentation plus diversifiée des groupes d’équité identifiés : femmes racisées, femmes en situation de handicap, lesbiennes et les bisexuelles, femmes transgenres, femmes autochtones, une plus grande représentation régionale, membres du conseil d’administration représenté par au moins 25% de francophones). Elle a également élaboré un plan stratégique centré sur la question de l’intersectionnalité.

L’ICREF a soutenu et mené de nombreux projets de recherche portant sur les femmes au Canada. Vers le milieu de sa première décennie, l’ICREF a mis au point deux grands projets : la Banque de chercheuses et le Répertoire des périodiques pour femmes canadiennes. Les membres de l’ICREF ont présenté de nombreux mémoires au nom de l’égalité des femmes, notamment des mémoires au CRTC sur le sexisme dans les médias, au Groupe d’étude fédéral-provincial sur les victimes du crime, au Comité fédéral d’examen de la politique culturelle, à la Commission MacDonald, au Groupe d’étude fédéral sur la garde des enfants, et à la Commission royale d’enquête sur les nouvelles technologies de reproduction. Parmi les nombreux projets entrepris, l’ICREF a participé à : l’étude pilote « La participation des femmes à la vie politique » commandée par l’UNESCO (1985-1988); une trousse de ressources communautaires sur les nouvelles technologies de reproduction qui a servi à la préparation des mémoires pour la Commission royale sur les nouvelles technologies de reproduction (1988-1990); la participation des femmes canadiennes à la Conférence mondiale sur les femmes de 1995 à Beijing; une recherche-action participative sur les effets sociaux, politiques et culturels du développement économique dans le nord du Canada pour les femmes (FemNorthNet); une recherche pancanadienne sur les impacts des changements dans l’emploi et la prestation des services publics sur les femmes (Changing Public Services).

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CRIAW-ICREF is "a research institute that provides tools to help organizations take action to promote social justice and equality for all women" (criaw-icref.ca, accessed June 3, 2021). CRIAW-ICREF is a Canadian non-profit, member-based organization. It depends on the support of its members and donors. It focuses on the development of feminist research and its dissemination for educational and advocacy purposes. It is the only national bilingual feminist organization in Canada that focuses exclusively on research.

CRIAW was founded by feminists, academics, community members and activists, in the wake of International Women's Year (1975) to address the lack of existing research on women and their experiences. The founding conference, with seventy members, was held in Ottawa in April 1976. During this conference, objectives were established, by-laws adopted, a Board of Directors elected, and the name of the new organization was chosen, the Canadian Research Institute for the Advancement of Women. In November 1976, a forum on research and women was held at Mount Saint Vincent University in Halifax. This meeting was the beginning of CRIAW's annual conference, which will be held across Canada from Halifax to Vancouver to Yellowknife. The objectives of the founding members were "to encourage, coordinate and disseminate research on women's experiences and to ensure that women have an equal place in the body of knowledge and research on Canada, its people, culture, economy and politics" (A Brief History of CRIAW, prepared by Linda Clippingdale). By 1977, the Institute was preparing its first publication, an inventory of research on women and work, edited by Susan Mann Trofimenkoff. Beginning in 1978, CRIAW awarded several grants each year, funding hundreds of projects undertaken by community and academic researchers. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff and Francine Fournier became CRIAW's first honorary members in 1980. Among other prices, an award named in honour of Muriel Duckworth (CRIAW president from 1979 to 1980) was established. CRIAW launched two series of documents. “CRIAW Papers” was first published in 1980 and “Feminist Perspectives” was launched in 1985. In 1981, CRIAW began publishing a quarterly newsletter for its members. In 1982, it published its first conference proceedings.

CRIAW's early years were marked by the search for a stable source of funding. In 1979, CRIAW received substantial operating funding from the Secretary of State's Women's Program, which gave it financial stability. CRIAW moved, hired staff and was able to offer a wider range of services to its members. However, beyond the funding received from the Canadian government, since its inception, the Institute's activities have been funded from a variety of sources, including donations, membership fees, sales of publications, and support from various associations such as the Association of Universities and Colleges of Canada.

In the 1990s, CRIAW changed its practices to become more inclusive. In front of multiple forms of inequality and oppression not addressed by the women's movement, the organization reflected on the application of intersectionality in its programs and organizational structure. Several conferences were held (Women and Disability in 1990; Making the Links in 1992). CRIAW's organizational structures were reviewed, and a research ethics committee was established (1994). In the early 2000s, CRIAW wanted to intensify its efforts towards a more in-depth integrated feminist analysis (IFA). Thus, the organization restructured its Board of Directors (2001) to ensure a more diverse representation of identified equity groups: racialized women, women with disabilities, lesbian and bisexual women, transgendered women, Aboriginal women, greater regional representation, and at least 25% Francophone board members). It has also developed a strategic plan that focuses on the issue of intersectionality.

CRIAW has supported and conducted numerous research projects related to women in Canada. Midway through its first decade, CRIAW developed two major projects: the Women's Research Bank and the Canadian Women's Periodical Directory. CRIAW members have made numerous submissions on behalf of women's equality, including submissions to the CRTC on sexism in the media, the Federal-Provincial Task Force on Victims of Crime, the Federal Cultural Policy Review Committee, the MacDonald Commission, the Federal Task Force on Child Care, and the Royal Commission on New Reproductive Technologies. Among the many projects undertaken, CRIAW has participated in: the pilot study " Women’s Involvement in Political Life" commissioned by UNESCO (1985-1988); a community resource kit on new reproductive technologies that was used to prepare briefs for the Royal Commission on New Reproductive Technologies (1988-1990); Canadian women's participation in the 1995 World Conference on Women in Beijing; participatory action research on the social, political and cultural effects of economic development in northern Canada on women (FemNorthNet); pan-Canadian research on the impacts of changes in employment and public service delivery on women (Changing Public Services).

Fallding, Helen

  • Person
Helen Fallding is an activist for human rights, gay and lesbian rights. She is a journalist. She was the first coordinator of the women's centre at the University of Toronto. She also coordinated the Women's Centre in Victoria, B..C.. She helped the Carcross-Tagish First Nation to negociate a land claim. She co-founded Yukon's first organization and was founding manager of the University of Manitoba Centre for Human Rights Research. She worked as a journalist for the Northern Native Broadcasting Yukon and Winnipeg Free Press. She won awards for feminist activism and for journalism.
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Helen Fallding est une militante des droits de l'homme et des droits des homosexuels. Elle est journaliste. Elle a été la première coordinatrice du centre des femmes de l'université de Toronto. Elle a également coordonné le Centre des femmes de Victoria, en Colombie-Britannique. Elle a aidé la Première nation Carcross-Tagish à négocier une revendication territoriale. Elle a cofondé la première organisation du Yukon et a été directrice fondatrice du Centre de recherche sur les droits de l'homme de l'Université du Manitoba. Elle a travaillé comme journaliste pour Northern Native Broadcasting Yukon et Winnipeg Free Press. Elle a été récompensée pour son militantisme féministe et son journalisme.

Sumach Press

  • Corporate body
  • 2000-2009

In 2000, several members of Second Story Feminist Press branched off to create their own publishing organization, Sumach Press. Publishing rights for select titles were also transferred to the new company, which was owned and operated by Beth McAuley, Lois Pike, and Liz Martin, in Toronto, Ontario.

Sumach Press was integral to Canada’s small feminist press scene, publishing a wide array of works written by and about women and that reached both national and international readerships. Titles explored diverse subjects such as health, history, politics, and sexuality. Sumach Press’ works encompassed literary fiction, mystery novels, cookbooks, and scholarly publications.

Its Women’s Issues Publishing Program featured feminist titles that promoted a more humane and equitable society, exploring issues of race, gender, and class. Sumach Press’ literacy fiction works reached both adult and young adult readers. In 2009, Sumach Press was acquired by Canadian Scholars' Press Inc. /Women’s Press.
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En 2000, plusieurs membres de Second Story Feminist Press ont créé leur propre maison d'édition, Sumach Press. Les droits d'édition de certains titres ont également été transférés à la nouvelle société, détenue et gérée par Beth McAuley, Lois Pike et Liz Martin, à Toronto (Ontario).

Sumach Press a fait partie intégrante de la petite presse féministe du Canada, publiant un large éventail d'ouvrages écrits par des femmes et sur des femmes, qui ont atteint un lectorat national et international. Les titres exploraient des sujets divers tels que la santé, l'histoire, la politique et la sexualité. Les travaux de Sumach Press englobent la fiction littéraire, les romans policiers, les livres de cuisine et les publications scientifiques.
Son programme de publication sur les questions féminines propose des titres féministes qui promeuvent une société plus humaine et plus équitable, en explorant les questions de race, de genre et de classe. Les ouvrages d'alphabétisation et de fiction de Sumach Press s'adressent à la fois aux adultes et aux jeunes adultes. En 2009, Sumach Press a été rachetée par Canadian Scholars' Press Inc. /Women's Press.

Gray, Terri

  • Person
Terri Gray was active in Manitoba during the 1980s particularly with women's organizations. Along with Joan Miller, Chris Lane, Shirley Walker, Bev Suek and Eileen Johnson, she was part of the first organizing committee for "Our Time is Now", a Canadian women's music and cultural festival in Winnipeg, Manitoba, in 1984.
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Terri Gray a été active au Manitoba dans les années 1980, en particulier au sein d'organisations féminines. Avec Joan Miller, Chris Lane, Shirley Walker, Bev Suek et Eileen Johnson, elle a fait partie du premier comité d'organisation de "Our Time is Now", un festival canadien de musique et de culture pour les femmes, qui s'est tenu à Winnipeg (Manitoba) en 1984.

Feminist Alliance for International Action (FAFIA)

  • Corporate body
  • 1999-present
The Canadian Feminist Alliance for International Action (FAFIA), a national alliance of forty Canadian women's organizations, was founded in 1999 to monitor the Canadian government's implementation of human rights commitments to women, such as those adopted at UN women's conference throughout the last few decades of the 20th century. FAFIA pooled resources and expertise to develop and disseminate new knowledge about women's human rights in an international context. Furthermore, FAFIA disseminated knowledge about the Canadian government's action (or rather, inaction) on their commitments within international agreements. FAFIA played a role in coordinating NGO participation at the Beijing +5 Conference, a follow-up to the Fourth UN World Conference on Women which took place in Beijing, China in 1995. FAFIA also played a role in the development of the Beijing +5 Platform for Action, and other important documents related to Beijing Conference follow-up. Additionally, the organization benefited from a close working relationship with numerous federal government departments, most importantly with Status of Women Canada, but also with the Department of Foreign Affairs and International Trade, Human Resources Development Canada, and Heritage Canada. FAFIA sought to develop new tools for integrating gender-based analysis in policy-making, such as Integrated Feminist Analysis and Monitoring Mechanisms, which expanded gender-based analysis to include considerations of race, disability, sexual orientation, marital status, age, geographic location, First Nation status, and income. While FAFIA still exists today, the records held at University of Ottawa Archives and Special Collections are primarily related to the first five years of their work (1999-2004).
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L'Alliance canadienne féministe pour l'action internationale (AFAI), une alliance nationale de quarante organisations féminines canadiennes, a été fondée en 1999 pour surveiller la mise en œuvre par le gouvernement canadien des engagements en matière de droits humains des femmes, tels que ceux adoptés lors des conférences des Nations unies sur les femmes au cours des dernières décennies du 20e siècle. L'AFAI a mis en commun ses ressources et son expertise pour développer et diffuser de nouvelles connaissances sur les droits humains des femmes dans un contexte international. En outre, l'AFAI a diffusé des informations sur l'action (ou plutôt l'inaction) du gouvernement canadien par rapport à ses engagements dans le cadre d'accords internationaux. L'AFAI a joué un rôle dans la coordination de la participation des ONG à la conférence Beijing +5, qui fait suite à la quatrième conférence mondiale des Nations unies sur les femmes qui s'est tenue à Beijing, en Chine, en 1995. L'AFAI a également joué un rôle dans l'élaboration de la plate-forme d'action Pékin +5 et d'autres documents importants liés au suivi de la conférence de Pékin. En outre, l'organisation a bénéficié d'une relation de travail étroite avec de nombreux ministères fédéraux, en particulier avec Condition féminine Canada, mais aussi avec le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, le ministère du Développement des ressources humaines et le ministère du Patrimoine canadien. L'AFAI s'est efforcée de mettre au point de nouveaux outils pour intégrer l'analyse comparative entre les sexes dans l'élaboration des politiques, tels que les mécanismes d'analyse et de suivi féministes intégrés, qui ont élargi l'analyse comparative entre les sexes pour y inclure des considérations relatives à la race, au handicap, à l'orientation sexuelle, à la situation matrimoniale, à l'âge, à la situation géographique, au statut de Première nation et au revenu. Bien que l'AFAI existe encore aujourd'hui, les documents conservés aux Archives et collections spéciales de l'Université d'Ottawa concernent principalement les cinq premières années de son travail (1999-2004).

Manitoba Action Committee on the Status of Women

  • Corporate body
  • 1971-1999
Manitoba Action Committee on the Status of Women (MACSW) was established in 1971 as a non-profit feminist organization. Their goal was to remove inequalities affecting women by working through lobbying efforts and public education. MACSW was interested in several issues including violence against women, sexual harassment and rape, pay equity, women's health, etc. They published a newsletter called ACTION which was published bi-monthly.
MACSW was closed in 1999 after federal funding cutbacks.
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Le Manitoba Action Committee on the Status of Women (MACSW) a été créé en 1971 en tant qu'organisation féministe à but non lucratif. Son objectif est d'éliminer les inégalités qui touchent les femmes par le biais d'actions de lobbying et d'éducation du public. Le MACSW s'intéressait à plusieurs questions, notamment la violence à l'égard des femmes, le harcèlement sexuel et le viol, l'égalité salariale, la santé des femmes, etc. Il publiait un bulletin d'information bimensuel intitulé ACTION.
Le MACSW a été fermé en 1999 à la suite d'une réduction du financement fédéral.

Monkman, Victorya

  • Person

Feminist and activist, Victorya Monkman had been involved since the 80s in the fight against violence against women. She studied political science, history, and women's studies. She worked in Timmins, Ontario in a Centre for women victims of violence. She wrote a guide and offered various presentations and workshops to help mostly French women victims of violence. She is the author of "Le Chemin du retour" published by the Ontario Action against Violence against Women in 1996.

Feministe et activiste, Victorya Monkman est engagee depuis les annees 80 dans la lutte contre la violence faite aux femmes. Elle a étudié en sciences politiques, en histoire, en pédagogie et en études féministes. Elle a œuvré à Timmins dans le nord de l’Ontario, dans un centre d’aide aux femmes victimes de violence. Elle a rédigé des guides et offert des ateliers pour les survivantes francophones d'agressions à caractère sexuel. Elle a notamment écrit l’ouvrage de référence « Le chemin du retour » publié par l’Action ontarienne contre la violence faite aux femmes en 1996.
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Féministe et militante, Victorya Montkam est engagée depuis les années 80 dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Elle a étudié les sciences politiques, l'histoire et les études féminines. Elle a travaillé à Timmins, en Ontario, dans un centre pour femmes victimes de violence. Elle a écrit un guide et offert diverses présentations et ateliers pour aider les femmes, principalement françaises, victimes de violence. Elle est l'auteure de "Le Chemin du retour" publié par l'Action ontarienne contre la violence faite aux femmes en 1996.
Féministe et activiste, Victorya Monkman est engagée depuis les années 80 dans la lutte contre la violence faite aux femmes. Elle a étudié en sciences politiques, en histoire, en pédagogie et en études féministes. Elle a œuvré à Timmins dans le nord de l'Ontario, dans un centre d'aide aux femmes victimes de violence. Elle a rédigé des guides et offert des ateliers pour les survivantes francophones d'agressions à caractère sexuel. Elle a notamment écrit l'ouvrage de référence " Le chemin du retour " publié par l'Action ontarienne contre la violence faite aux femmes en 1996.

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