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Registo de autoridade

Antoine, André

  • Pessoa singular
  • 1858-1943
André Antoine est un comédien, metteur en scène, directeur de théâtre, réalisateur et critique dramatique français né le 31 janvier 1858 à Limoges et mort le 19 octobre 1943 au Pouliguen. Considéré comme l'inventeur de la mise en scène moderne en France, il a donné son nom au Théâtre Antoine à Paris.

Canadian Women's Movement Archives (CWMA)

  • Canada
  • Pessoa coletiva
  • 1977-1992

The origins of what later became the CWMA/ACMF were the records of the Toronto feminist newspaper The Other Woman. When the newspaper ceased publication in 1977, Pat Leslie, editor of The Other Woman, moved the newspaper’s records into her apartment and was the custodian of the first Canadian Women’s Archives (CWMA) documents. From 1977 until 1982, she preserved The Other Woman records and some additional material relating to the Canadian Women’s Movement in her apartment. In 1983, working with a group of women including Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka and Lorna Weir under the banner of the NGO the Women’s Information Center (WIC) , a registered Canadian charity, an application was made for a Canada Community Development Grant. This allowed the group to rent a room in a building on the corner of Spadina Avenue and College Street in Toronto where they moved the documents from Pat Leslie’s apartment and it was here they began to collect records and documents related to the Canadian Women’s Movement. The CWMA Collective took responsibility for the collection from 1983 forward. That collective, which changed in membership over the years, operated the Canadian Women’s Movement Archives/ACMF, until it was relocated to the University of Ottawa in 1992. Members of the collective who were active for a significant period of time included: Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith, and Lorna Weir.

After the opening of the public CWMA in 1983/84, the collection was catalogued and became available to researchers. Various grants, annual yard sales, and other fundraising allowed the CWMA/ACMF collective to hire staff from time to time, to actively collect the records of women’s groups across Canada and to promote the CWMA/ACMF. In 1991 the Collective decided that it was no longer possible to maintain the CWMA/ACMF as an independent organization and sought interest from other archives and universities in the collection. The Collective felt that the collection’s credibility rested on the fact that it came out of the women’s movement and was nurtured by feminists and operated in a manner consistent with those principles. As much as possible the Collective wanted to place the collection with an institution that would respect that. Ultimately, the Collective decided to donate the CWMA/ACMF records to the University of Ottawa. Both parties agreed that the CWMA/ACMF collection would be maintained in its entirety as a separate collection with the hope that additional records from the Canadian women’s movement would be collected by the Archives and Special Collections.

In 1992 the CWMA/ACMF records were donated to the University of Ottawa, who “took over the CWMA/ACMF’s mandate” and started accepting new donations that would become a part of an ongoing collection documenting the groups and individuals who made up the Canadian Women’s Movement.

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Les archives du journal féministe torontois The Other Woman ont été à l'origine de ce qui est devenu plus tard l'ACMF/CWMA. Lorsque le journal a cessé de paraître en 1977, Pat Leslie, rédactrice en chef de The Other Woman, a déménagé les archives du journal dans son appartement et a été la gardienne des premiers documents des Archives canadiennes des femmes (ACFM). De 1977 à 1982, elle conserve dans son appartement les archives de The Other Woman et quelques autres documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. En 1983, en collaboration avec un groupe de femmes comprenant Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka et Lorna Weir, sous la bannière de l'ONG Women's Information Center (WIC), une organisation caritative canadienne enregistrée, une demande de subvention pour le développement communautaire a été déposée. Cette subvention a permis au groupe de louer une pièce dans un immeuble situé à l'angle de l'avenue Spadina et de la rue College à Toronto. C'est là qu'elles ont déménagé les documents de l'appartement de Pat Leslie et qu'elles ont commencé à rassembler des dossiers et des documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. Le collectif CWMA a pris la responsabilité de la collection à partir de 1983. Ce collectif, dont la composition a changé au fil des ans, a géré les Archives du Mouvement canadien des femmes/ACMF jusqu'à leur déménagement à l'Université d'Ottawa en 1992. Les membres du collectif qui ont été actifs pendant une longue période sont les suivants : Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith et Lorna Weir.
Après l'ouverture de l’ACMF en 1983/84, la collection a été cataloguée et mise à la disposition des chercheurs. Diverses subventions, des vide-greniers annuels et d'autres collectes de fonds ont permis au collectif CWMA/ACMF d'embaucher du personnel de temps à autre, de collecter activement les documents des groupes de femmes à travers le Canada et de promouvoir le CWMA/ACMF. En 1991, le collectif a décidé qu'il n'était plus possible de maintenir l'ACMF/CWMA en tant qu'organisation indépendante et a cherché à intéresser d'autres archives et universités à la collection. Le Collectif a estimé que la crédibilité de la collection reposait sur le fait qu'elle était issue du mouvement des femmes, qu'elle avait été alimentée par des féministes et qu'elle fonctionnait selon ces principes. Dans la mesure du possible, le collectif souhaitait confier la collection à une institution qui respecterait ces principes. En fin de compte, le Collectif a décidé de faire don des documents de l'ACMF à l'Université d'Ottawa. Les deux parties ont convenu que la collection de l'ACMF/CWMA serait conservée dans son intégralité en tant que collection distincte, dans l'espoir que les Archives et les Collections spéciales recueillent d'autres documents sur le mouvement des femmes au Canada.
En 1992, les documents de l'ACMF/CWMA ont été donnés à l'Université d'Ottawa, qui a ""repris le mandat de l'ACMF/CWMA"" et a commencé à accepter de nouveaux dons qui feraient partie d'une collection permanente documentant les groupes et les individus qui ont fait partie du Mouvement canadien des femmes.

Veilleux, Denise

  • Pessoa singular
Née à Montréal, Denise Veilleux s'est installée dans l'Outaouais après des études en traduction à l'Université Laval. En plus de travailler dans le domaine de la traduction, notamment au sein du gouvernement fédéral, elle a été chroniqueuse, co-animatrice puis réalisatrice de l'émission Ellipse diffusée sur les ondes de CHUO, la radio de l'Université d'Ottawa. Elle a également écrit des articles pour diverses revues et journaux dont la revue Femmes d'action et pour la Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises (FNFCF). Denise Veilleux est une activitiste qui s’est consacrée aux questions d’intérêt pour les femmes, notamment la santé, l’éducation, la prévention de la violence et la lutte à la pauvreté et dans la lutte contre la mondialisation et contre la guerre. Elle s’est présentée comme candidate de l’UFP (Union des forces progressistes) dans le comté de Hull à l’élection d’avril 2003 et a été porte-parole nationale et vice-présidente de l’Union des forces progressistes (UFP). Elle habite à Winnipeg.
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Born in Montreal, Denise Veilleux moved to the Outaouais after studying translation at Laval University. In addition to working in the field of translation, notably for the federal government, she was a columnist, co-host and then producer of the program Ellipse broadcast on CHUO, the University of Ottawa's radio station. She has also written articles for various magazines and newspapers, including Femmes d'action magazine and the Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises (FNFCF). Denise Veilleux is an activist who has dedicated herself to women's issues, including health, education, violence prevention and anti-poverty, anti-globalization and anti-war. She ran as a UFP (Union des forces progressistes) candidate in Hull County in the April 2003 election and was the national spokesperson and vice-president of the UFP. She lives in Winnipeg.

Ontario Advisory Council on Women's Issues (OACWI)

  • Pessoa coletiva
  • 1985-1993
"The Ontario Advisory Council on Women's Issues (OACWI) was founded in 1984. It was the successor to the Ontario Advisory Council on the Status of Women (OACSW), founded in 1973 in response to the 1970 federal Report of the Royal Commission on the Status of Women. Succesful lobbying by women's groups pushed the Ontario government to expand the capacity of OACWI and it was charged with advising the government on women’s issues through a special minister. The Conservative government decided to fold the OACWI in 1996.
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Le Conseil consultatif ontarien sur les questions féminines (CCFO) a été fondé en 1984. Il succède à l'Ontario Advisory Council on the Status of Women (OACSW), fondé en 1973 en réponse au rapport fédéral de 1970 de la Commission royale d'enquête sur la condition de la femme. Les pressions exercées avec succès par les groupes de femmes ont poussé le gouvernement de l'Ontario à accroître la capacité de l'OACWI, qui a été chargé de conseiller le gouvernement sur les questions relatives aux femmes par l'intermédiaire d'un ministre spécial. Le gouvernement conservateur a décidé de supprimer l'OACWI en 1996."

Midwifery Task Force of Ontario

  • Pessoa coletiva
  • 1983-1993
"In June 1983, a small group of midwives, consumers, health care providers and other supporters of midwifery met to discuss the status of midwifery in Ontario. Historically, Ontario had a tradition of lay midwives who attended the births of family, friends and neighbours. This tradition of community midwifery began to decline around the turn of the century until, by the 1950s, midwifery had all but disappeared in Ontario. In the 1970s, the practice of midwifery began to re-emerge and was influenced by the natural childbirth movement principles that pregnancy and birth are normal, healthy, family events and that pregnant women themselves should be the primary decision makers about the health care they receive.
Subsequently, the Midwifery Task Force of Ontario (MFT-O), a community-based lobby group, was established to promote legislation and recognition of midwifery. Around the same time, the association of practicing midwives (Ontario Association of Midwives) and nurse-midwives association (Ontario Nurse-Midwives Association) joined together to form the Association of Ontario Midwives (AOM). The MTF-O gained support from women and their families seeking an alternative to the medical model of childbirth and maternity care. Over the next several years, the AOM and the MTF-O worked together to advocate the creation of midwifery as a recognized profession. This culminated in Bill 56, the Midwifery Act which was passed on December 31, 1993 making Ontario the first province in Canada to recognize, regulate and fund midwifery as part of the health care system.
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En juin 1983, un petit groupe de sage-femmes, et de fournisseurs de soins de santé et d'autres partisans de la profession de sage-femme se sont réunis pour discuter du statut de la profession de sage-femme en Ontario. Historiquement, l'Ontario avait une tradition de sage-femmes laïques qui assistaient aux naissances des membres de leur famille, de leurs amis et de leurs voisins. Cette tradition de sage-femme communautaire a commencé à décliner au tournant du siècle jusqu'à ce que, dans les années 1950, la profession de sage-femme ait pratiquement disparu en Ontario. Dans les années 1970, la pratique des sage-femmes a commencé à réapparaître, influencée par les principes du mouvement en faveur de l'accouchement naturel, selon lesquels la grossesse et l'accouchement sont des événements familiaux normaux et sains, et les femmes enceintes elles-mêmes devraient être les premières à décider des soins de santé qu'elles reçoivent.
Par la suite, le Midwifery Task Force of Ontario (MFT-O), un groupe de pression communautaire, a été créé pour promouvoir la législation et la reconnaissance de la profession de sage-femme. À peu près à la même époque, l'association des sage-femmes en exercice (Ontario Association of Midwives) et l'association des infirmières sage-femmes (Ontario Nurse-Midwives Association) se sont regroupées pour former l'Association des sage-femmes de l'Ontario (AOM). L'AOM a reçu le soutien de femmes et de leurs familles qui cherchaient une alternative au modèle médical d'accouchement et de soins de maternité. Au cours des années suivantes, l'AOM et la MTF-O ont travaillé ensemble pour promouvoir la création de la profession de sage-femme en tant que profession reconnue. Ces efforts ont abouti au projet de loi 56, la Loi sur les sages-femmes, qui a été adoptée le 31 décembre 1993, faisant de l'Ontario la première province canadienne à reconnaître, réglementer et financer la profession de sage-femme dans le cadre du système de soins de santé."

Ottawa Women's Place

  • Pessoa coletiva
  • 1986-

The idea for Women's Place/Place Aux Femmes originally grew out discussions held in January 1984 with Mayor of Ottawa, Marion Dewar. The community representatives and individuals who met with the Mayor felt there was a need for a centralized telephone information and referral service specifically for women.

A feasibility study on the need for such a service was commissioned in 1984 by an interim board named Women's Info. The study confirmed the need for one source to co-ordinate and provide information on the services available to women. Those surveyed also pointed to the problem of gaps in service and the need for outreach and advocacy, and so it was agreed that, although the service would begin with information and referral, it would grow into the areas of support, advocacy and direct services. In late 1984, while plans were being made for the new service, numerous concerns were raised about duplication of existing services, particularly with the Community Information Centre. To deal with these concerns, Women's Info decided to accelerate their growth plans and were given a grant of $10,000 to gather support and suggestions for the new proposal which included a wider range of services and a physical space for personal access and Centre activities.

Women's Info consulted the community extensively through mail-out questionnaires, pamphlets, and in-depth interviews, and discussions were also held with Community Information Centre representatives in an attempt to clarify respective roles and objectives. It was agreed that, besides providing information and referral, the new women's centre would also help identify and advocate for unmet needs and resources, and would work to heighten awareness of women's issues. The new proposal had extensive community support, and on October 16, Ottawa City Council approved funding. On June 12, 1986, Women's Place/Place aux Femmes officially opened at 242 Besserer Street.

From the beginning, Women's Place was concerned with reaching out to women who were isolated or disadvantaged because of age, ethnicity, poverty, disability or a combination of factors. Thus, their services, operating guidelines, and structure reflected the need to be inclusive and accessible. They did regular and extensive community outreach, established a francophone services collective and worked closely with other organizations to identify and work to solve problems caused by gaps in service. The Board was made up of both staff, volunteers and community members, and the organization was operated as a collective, with everyone sharing in the decision making process. Decision-making positions could not be held by men, although they could have limited access to services and information.

Like many women's organizations, Women's Place faced its share of financial problems, relying for funding on individual donations and government grants. In September 1986, only a few months after their official opening, their budget was reduced from $80,000 to $40,000, necessitating the cutting of 3 full time positions and many services. Another cut, in 1987, was met with a huge fundraising effort which included a reception for Bonnie Robichaud on Parliament Hill, film nights, a poetry reading, dances, a March for Peace and a music night. Since 1988, Women's Place/Place aux Femmes has relied mainly on grants from the provincial and local governments. In 1991, it moved from Besserer Street to Bruyère Street, where it rented the top half of a local community centre from the City of Ottawa.

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L'idée de Place Aux Femmes est née de discussions tenues en janvier 1984 avec le maire d'Ottawa, Marion Dewar. Les représentants de la communauté et les personnes qui ont rencontré la maire estimaient qu'il était nécessaire de disposer d'un service téléphonique centralisé d'information et d'orientation destiné spécifiquement aux femmes.

Une étude de faisabilité sur la nécessité d'un tel service a été commandée en 1984 par un conseil provisoire appelé Women's Info. L'étude a confirmé la nécessité d'une source unique pour coordonner et fournir des informations sur les services disponibles pour les femmes. Les personnes interrogées ont également souligné le problème des lacunes dans les services et la nécessité d'une action de proximité et de défense des droits. Il a donc été décidé que le service commencerait par l'information et l'orientation, mais qu'il se développerait dans les domaines de l'aide, de la défense des droits et des services directs. À la fin de l'année 1984, alors que l'on planifiait le nouveau service, de nombreuses inquiétudes ont été exprimées quant à la duplication des services existants, en particulier avec le Centre d'information communautaire. Pour répondre à ces préoccupations, Women's Info a décidé d'accélérer ses plans de croissance et a reçu une subvention de 10 000 dollars pour recueillir des soutiens et des suggestions pour la nouvelle proposition qui comprenait une gamme plus large de services et un espace physique pour l'accès personnel et les activités du Centre.
Women's Info a largement consulté la communauté par le biais de questionnaires envoyés par la poste, de brochures et d'entretiens approfondis, et des discussions ont également eu lieu avec les représentants du centre d'information communautaire afin de clarifier les rôles et les objectifs respectifs. Il a été convenu qu'en plus de fournir des informations et des services d'orientation, le nouveau centre pour les femmes contribuerait également à identifier et à défendre les besoins et les ressources non satisfaits, et qu'il s'efforcerait d'accroître la sensibilisation aux questions relatives aux femmes. La nouvelle proposition bénéficie d'un large soutien communautaire et, le 16 octobre, le conseil municipal d'Ottawa en approuve le financement. Le 12 juin 1986, Women's Place/Place aux Femmes ouvre officiellement ses portes au 242, rue Besserer.
Dès le début, Place aux femmes s'est efforcé d'atteindre les femmes isolées ou défavorisées en raison de leur âge, de leur origine ethnique, de leur pauvreté, de leur handicap ou d'une combinaison de facteurs. Ainsi, ses services, ses lignes directrices et sa structure reflètent la nécessité d'être inclusif et accessible. L'association a mené des actions régulières et approfondies auprès de la communauté, a mis en place un collectif de services francophones et a travaillé en étroite collaboration avec d'autres organisations afin d'identifier et de résoudre les problèmes causés par les lacunes dans les services. Le conseil d'administration était composé de membres du personnel, de bénévoles et de membres de la communauté, et l'organisation fonctionnait comme un collectif, chacun participant au processus de prise de décision. Les postes de décision ne peuvent être occupés par des hommes, même si ceux-ci peuvent avoir un accès limité aux services et à l'information.
Comme beaucoup d'organisations de femmes, Place aux femmes a connu sa part de problèmes financiers, son financement reposant sur des dons individuels et des subventions gouvernementales. En septembre 1986, quelques mois seulement après son ouverture officielle, son budget a été réduit de 80 000 à 40 000 dollars, ce qui a nécessité la suppression de trois postes à temps plein et de nombreux services. Une autre réduction, en 1987, a donné lieu à une énorme collecte de fonds qui comprenait une réception pour Bonnie Robichaud sur la Colline du Parlement, des soirées cinéma, une lecture de poésie, des danses, une marche pour la paix et une soirée musicale. Depuis 1988, Place aux Femmes dépend principalement des subventions des gouvernements provinciaux et locaux. En 1991, il a déménagé de la rue Besserer à la rue Bruyère, où il a loué la moitié supérieure d'un centre communautaire local à la Ville d'Ottawa.

Ottawa Women's Centre

  • Pessoa coletiva
  • 1972-1980
"In early 1972, a group of women formed the Ottawa Women's Centre Association and drafted a proposal for a centre which would allow women to meet and pool their skills and resources. The Ottawa Women's Centre (OWC) was the result of their proposal. The Centre offered a space for meetings, counselling, training and education, and it became the hub of women's liberation activity in Ottawa from its opening in July 1972 until its demise in 1980.
Like many grassroots feminist organizations of the 1970s, the Women's Centre wanted to avoid traditional methods of organizing; the aim was to leave as much power as possible in the hands of the members themselves. Consequently, the OWC was structured as a collective, run by staff, volunteers and members together, and using consensus to decide on centre policy and direction. However, as the Women's Centre grew, the need for more structured organization became apparent, and while the collective structure was maintained, in 1974 a Policy Committee was elected to be in charge of the major decisions. It was also decided, in 1973, that the centre would be off limits to men.
The Women's Centre offered various services which revolved mainly around crisis help, counselling, information and support of various kinds. They were also very active in the community, helping to organize a number of events, such as the Native Women's March to Ottawa in 1979, protests against federal cutbacks affecting poor women, and ""reclaim the night"" parades. They inspired, supported and helped to organize many other women's organizations in the Ottawa community, such as the Rape Crisis Centre, Women's Career Counselling, Interval House and Upstream, a women's newspaper. In 1975, the scope of their programs had grown so large that it was decided to split the two components of service and action. At that time, Women's Info, Referral and Counselling became a separate organization while continuing to share the same space and Policy Committee.
Financial support for the OWC came from a number of sources, including individual donations and support from other community organizations such as the Ottawa Women's Business and Professional Club. A major fundraising drive and benefit events were held in 1973, 1974 and 1976. The OWC also received grant money through the International Women's Year Program, the Local Initiatives Program and the City of Ottawa. In 1975, they were awarded a $10,000 grant from the Regional Municipality on the condition that they incorporate and register as a charitable institution. However, this decision was strongly opposed by some members who saw the potential for serious problems in reliance on government funding. These problems were illustrated the following year when the same grant was revoked. Although the decision was later reversed, the OWC was temporarily thrown into a funding crisis by the controversy.
In 1978 an open meeting was called to discuss the future of the OWC and it was decided that they would work towards becoming self-sufficient. A Business Committee was formed to help with this goal, and the result was the creation of Chez Nous, a small cafe which opened on the premises in February 1979. It was hoped that revenues from Chez Nous would allow the centre to survive without government support. Unfortunately, difficulties connected to their application for a liquor license threw them into even deeper financial trouble and they were forced to close in May 1980.
The Women’s Place / Place aux femmes (fonds 10-020) was opened in 1986, after extensive feasibility studies and community surveys to determine exactly what type of service should be offered in Ottawa. The basic organisation, philosophy and services of Women’s Place were very similar to those of the previous Ottawa Women’s Centre, but there was more emphasis on meeting the needs of diverse groups of women in the community, and on working together with other organisations and agencies.
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Au début de l'année 1972, un groupe de femmes a formé l'Association du Centre des femmes d'Ottawa et a rédigé un projet de centre qui permettrait aux femmes de se rencontrer et de mettre en commun leurs compétences et leurs ressources. Le Centre des femmes d'Ottawa (CFO) est le résultat de cette proposition. Le Centre offre un espace pour les réunions, le conseil, la formation et l'éducation, et il devient le centre des activités de libération des femmes à Ottawa, de son ouverture en juillet 1972 jusqu'à sa disparition en 1980.
Comme beaucoup d'organisations féministes de base des années 1970, le Centre des femmes voulait éviter les méthodes traditionnelles d'organisation ; l'objectif était de laisser le plus de pouvoir possible entre les mains des membres elles-mêmes. Par conséquent, l'OWC était structuré comme un collectif, dirigé par le personnel, les bénévoles et les membres ensemble, et utilisant le consensus pour décider de la politique et de l'orientation du centre. Cependant, au fur et à mesure que le Centre des femmes se développe, le besoin d'une organisation plus structurée se fait sentir et, bien que la structure collective soit maintenue, un Comité de politique est élu en 1974 pour prendre les décisions les plus importantes. Il a également été décidé, en 1973, que le centre serait interdit aux hommes.
Le Centre des femmes offrait divers services qui tournaient principalement autour de l'aide en cas de crise, du conseil, de l'information et du soutien sous diverses formes. Il était également très actif au sein de la communauté, contribuant à l'organisation d'un certain nombre d'événements, tels que la marche des femmes autochtones vers Ottawa en 1979, les manifestations contre les coupes budgétaires fédérales touchant les femmes pauvres et les défilés ""Reclaim the night"" (récupérer la nuit). Elles ont inspiré, soutenu et aidé à organiser de nombreuses autres organisations de femmes dans la communauté d'Ottawa, telles que le Rape Crisis Centre, Women's Career Counselling, Interval House et Upstream, un journal de femmes. En 1975, la portée de leurs programmes s'est tellement élargie qu'il a été décidé de scinder les deux composantes que sont le service et l'action. À cette époque, Women's Info, Referral and Counselling devient une organisation distincte, tout en continuant à partager les mêmes locaux et le même comité d'orientation.
Le soutien financier du CFO provient d'un certain nombre de sources, notamment de dons individuels et du soutien d'autres organisations communautaires telles que l'Ottawa Women's Business and Professional Club. Une grande campagne de collecte de fonds et des événements de bienfaisance ont été organisés en 1973, 1974 et 1976. L'OWC a également reçu des subventions du Programme de l'Année internationale de la femme, du Programme d'initiatives locales et de la Ville d'Ottawa. En 1975, la municipalité régionale lui accorde une subvention de 10 000 $ à condition qu'il se constitue en société et s'enregistre en tant qu'organisme de bienfaisance. Cependant, certains membres s'opposent fermement à cette décision, estimant que la dépendance à l'égard des fonds publics risque d'entraîner de graves problèmes. Ces problèmes ont été illustrés l'année suivante lorsque la même subvention a été révoquée. Bien que la décision ait été annulée par la suite, l'OWC a été temporairement plongé dans une crise de financement en raison de la controverse.
En 1978, une réunion publique est organisée pour discuter de l'avenir de l'OWC et il est décidé de travailler à son autosuffisance. Un comité d'entreprise a été formé pour aider à atteindre cet objectif, et le résultat a été la création de Chez Nous, un petit café qui a ouvert ses portes dans les locaux en février 1979. On espérait que les revenus du Chez Nous permettraient au centre de survivre sans l'aide du gouvernement. Malheureusement, des difficultés liées à leur demande de licence de vente d'alcool les ont plongés dans des problèmes financiers encore plus graves et ils ont été contraints de fermer en mai 1980.
Le Women's Place / Place aux femmes (fonds 10-020) a ouvert ses portes en 1986, après des études de faisabilité approfondies et des sondages auprès de la communauté pour déterminer exactement quel type de service devrait être offert à Ottawa. L'organisation de base, la philosophie et les services de la Place aux femmes sont très semblables à ceux de l'ancien Centre des femmes d'Ottawa, mais l'accent est davantage mis sur la satisfaction des besoins des divers groupes de femmes de la communauté et sur la collaboration avec d'autres organisations et agences."

McPeake, Wendy

  • Pessoa singular
"Wendy McPeake was involved in the creation of cultural products, including museum exhibits, revenue-generating publications and products, promotional publications, and commercial operations. She obtained a Bachelor of Art in English Literature from the University of Ottawa in 1971 and also studied at the Université d’Aix-en-Provence in 1972 and 1973, as well as completing courses in management publishing. In the late 1970s, Wendy McPeake was involved in various groups and organizations working on women's issues. She was very active in the Ottawa Women's Centre, frequently sitting on the Policy Committee. She was involved in organizing various events, including a musical fundraiser in 1977 with the artists Angele Arsenault, CT & April, and Ellen McIllwaine, as well as another concert fundraiser that featured Rita MacNeil.
Wendy McPeake founded and was a very active member of the Political Action Collective, renamed the Feminist Action Collective in 1981. She worked as a marketing manager at the National Museums of Canada (1980 to 1984), as Assistant to the Director of Publishing at McClelland and Stewart publishing house (1984-1985), as Director, Publishing and Product Development at the Canadian Museum of Science and Technology Corporation (1985-1995), and as Director Commercial Operations at the Canada Museum of Science and Technology Corporation (1994-1998). She is currently a freelance publishing consultant and editor.
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Wendy McPeake a participé à la création de produits culturels, notamment des expositions dans des musées, des publications et produits générateurs de revenus, des publications promotionnelles et des opérations commerciales. Elle a obtenu une licence en littérature anglaise à l'université d'Ottawa en 1971 et a également étudié à l'université d'Aix-en-Provence en 1972 et 1973, tout en suivant des cours sur la gestion de l'édition. À la fin des années 1970, Wendy McPeake s'est impliquée dans divers groupes et organisations s'occupant des questions féminines. Elle a été très active au sein du Centre des femmes d'Ottawa, où elle a souvent siégé au comité d'orientation. Elle a participé à l'organisation de divers événements, dont une collecte de fonds musicale en 1977 avec les artistes Angele Arsenault, CT & April et Ellen McIllwaine, ainsi qu'un autre concert de collecte de fonds avec Rita MacNeil.
Wendy McPeake a fondé le Collectif d'action politique, rebaptisé Collectif d'action féministe en 1981, et en a été un membre très actif. Elle a travaillé comme responsable du marketing aux Musées nationaux du Canada (1980 à 1984), comme assistante du directeur de l'édition à la maison d'édition McClelland and Stewart (1984-1985), comme directrice de l'édition et du développement de produits à la Société du Musée canadien des sciences et de la technologie (1985-1995), et comme directrice des opérations commerciales à la Société du Musée canadien des sciences et de la technologie (1994-1998). Elle est actuellement consultante indépendante en édition et rédactrice en chef."

Womynly Way Productions

  • Pessoa coletiva
  • 1980-?
Formed in 1980, Womynly Way Productions is a non-profit organization producing professional concerts, dance, comedy and theatrical performances featuring primarily women artists. Making cultural events accessible to differently-abled people, including the hearing-impaired, and those who use wheel chairs, is stressed whenever possible. They also provide free childcare at all events.
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Créée en 1980, Womynly Way Productions est une organisation à but non lucratif qui produit des concerts professionnels, des spectacles de danse, des comédies et des représentations théâtrales mettant en scène principalement des femmes. Dans la mesure du possible, l'accent est mis sur l'accessibilité des événements culturels aux personnes à mobilité réduite, y compris les malentendants et les personnes en fauteuil roulant. L'association propose également un service de garde d'enfants gratuit lors de tous les événements.
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