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Second Wave Feminism Oral History Collection

  • Corporate body
  • 2007-2012

The Second Wave Feminism Oral History Collection is the result of the findings from the Second Wave Archival Project, a research project organized by Canadian Senator Nancy Ruth and Beth Atcheson. Interviews were conducted by Bronwyn Bragg (lead researcher and interviewer) and Mary Breen. The Second Wave Archival Project aimed to document the history of second wave feminism in Canada. The final oral history collection includes 99 interviews with women from Alberta, British Columbia, Nova Scotia, New Brunswick, Prince Edward Island, Ontario, Yukon and the Northwest Territories.

The Second Wave Archival Project was a collaboration between Nancy’s Very Own Foundation (NVOF) and the University of Ottawa Library Archives and Special Collections. NVOF is a private foundation in Toronto founded by Senator Nancy Ruth. The interviews are part of the Women's Archives at the University of Ottawa Library. Bronwyn Bragg was employed from 2008-2010 by NVOF and later published a master’s thesis from the University of Toronto in 2011 titled “Deconstructing ‘Hegemonic Feminism’: The Emergence of ‘Second Wave’ Feminism in Canada (1965-1975)”. In this thesis Bragg also outlines the history of the project.

The oral history interviews were digitally recorded and conducted primarily in person. Some were done over the phone. The interviews conducted in Ontario are accompanied by transcripts done by Bronwyn Bragg.

In 2007, the original intention of the project was to collect documents and ephemera relating to second wave feminism in Canada. It was decided to collect oral history interviews instead when locating documents proved more difficult than anticipated. Initially ten women in Ontario were on the list of interviewees. However, the list grew and by October of 2008 more than forty interviews had been recorded by Bronwyn.

A goal of the project was to reflect the diversity of the second wave movement in Canada by including experiences from women of colour, aboriginal women, women with disabilities, and women who identify as LGBTQ2S+ as outlined in Bragg’s master’s thesis. Interviews with women active early on in the movement were prioritized, as were interviews with the eldest women outlines Bragg.

An interview guide and consent form was created for the interviews. The consent form states that recordings will become the property of uOttawa and included in the Canadian Women’s Movement Archives, interviewees can restrict access to their interviews if desired, and receive a copy of their interview, etc. Lawyers working on the project drafted the consent form with input from the University of Ottawa Library Archives and Special Collections. The content of the consent form was reviewed before and after the interview with the interviewee. Once the interview had been conducted, participants were asked to sign the form and stipulate any access restrictions.

The interview guide was created in collaboration with other feminist academics in history and sociology. Questions in the guide were general and open-ended. The interview guide consisted of a list of questions grouped into four categories. The first being to capture stories for the next generation of feminists and to create permanent archival records for future research. The first section of questions dealt with how participants became involved with feminism, the second dealt with organizational affiliations and group memberships, the third dealt with how participants felt to be part of the movement, the fourth about what participants thought was important for young feminists today. The participants were not sent the interview guide before the interview unless they requested it. A list of open-ended demographic questions was appended to the guide to serve as follow up questions. This was done to ensure all relevant information had been captured during the interview.

Two goals were stated in the guide. The first being to capture stories for the next generation of feminists and to create permanent archival records for future research on second wave feminism in Canada.
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La collection d'histoire orale du féminisme de la deuxième vague est le résultat des conclusions du projet d'archives de la deuxième vague, un projet de recherche organisé par la sénatrice canadienne Nancy Ruth et Beth Atcheson. Les entretiens ont été menés par Bronwyn Bragg (chercheuse principale et intervieweuse) et Mary Breen. Le projet d'archives de la deuxième vague visait à documenter l'histoire du féminisme de la deuxième vague au Canada. La collection finale d'histoire orale comprend 99 entretiens avec des femmes de l'Alberta, de la Colombie-Britannique, de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick, de l'Île-du-Prince-Édouard, de l'Ontario, du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest.

Le projet archivistique de la deuxième vague est le fruit d'une collaboration entre la Nancy's Very Own Foundation (NVOF) et les Archives et collections spéciales de la Bibliothèque de l'Université d'Ottawa. La NVOF est une fondation privée de Toronto fondée par la sénatrice Nancy Ruth. Les entretiens font partie des Archives des femmes de la Bibliothèque de l'Université d'Ottawa. Bronwyn Bragg a été employée de 2008 à 2010 par la NVOF et a ensuite publié un mémoire de maîtrise à l'Université de Toronto en 2011 intitulé "Deconstructing 'Hegemonic Feminism' : The Emergence of 'Second Wave' Feminism in Canada (1965-1975)". Dans cette thèse, Bragg retrace également l'historique du projet.

Les entretiens d'histoire orale ont été enregistrés numériquement et réalisés principalement en personne. Certains ont été réalisés par téléphone. Les entretiens réalisés en Ontario sont accompagnés de transcriptions réalisées par Bronwyn Bragg.

En 2007, l'intention initiale du projet était de collecter des documents et des objets éphémères relatifs au féminisme de la deuxième vague au Canada. Lorsqu'il s'est avéré plus difficile que prévu de trouver des documents, il a été décidé de recueillir plutôt des entretiens d'histoire orale. Au départ, dix femmes de l'Ontario figuraient sur la liste des personnes à interviewer. Cependant, la liste s'est allongée et, en octobre 2008, Bronwyn avait enregistré plus de quarante entretiens.

L'un des objectifs du projet était de refléter la diversité du mouvement de la deuxième vague au Canada en incluant les expériences des femmes de couleur, des femmes autochtones, des femmes handicapées et des femmes qui s'identifient comme LGBTQ2S+, comme indiqué dans la thèse de maîtrise de Bronwyn Bragg. Les entretiens avec les femmes actives au début du mouvement ont été privilégiés, de même que les entretiens avec les femmes les plus âgées, comme le souligne Bragg.

Un guide d'entretien et un formulaire de consentement ont été élaborés pour les entretiens. Le formulaire de consentement stipule que les enregistrements deviendront la propriété de l'Université d'Ottawa et seront inclus dans les archives du Mouvement canadien des femmes, que les personnes interrogées peuvent restreindre l'accès à leurs entretiens si elles le souhaitent, et qu'elles recevront une copie de leur entretien, etc. Les avocats travaillant sur le projet ont rédigé le formulaire de consentement avec l'aide des Archives et collections spéciales de la Bibliothèque de l'Université d'Ottawa. Le contenu du formulaire de consentement a été revu avant et après l'entretien avec la personne interrogée. Une fois l'entretien réalisé, les participants ont été invités à signer le formulaire et à stipuler les éventuelles restrictions d'accès.

Le guide d'entretien a été élaboré en collaboration avec d'autres universitaires féministes en histoire et en sociologie. Les questions du guide étaient générales et ouvertes. Le guide d'entretien consistait en une liste de questions regroupées en quatre catégories. Le premier objectif était de recueillir des témoignages pour la prochaine génération de féministes et de créer des archives permanentes pour les recherches futures. La première section de questions portait sur la manière dont les participantes se sont engagées dans le féminisme, la deuxième sur les affiliations organisationnelles et l'appartenance à des groupes, la troisième sur le sentiment des participantes de faire partie du mouvement, et la quatrième sur ce que les participantes considéraient comme important pour les jeunes féministes d'aujourd'hui. Les participants n'ont pas reçu le guide d'entretien avant l'entretien, sauf s'ils l'ont demandé. Une liste de questions démographiques ouvertes a été annexée au guide pour servir de questions de suivi. Cette démarche visait à s'assurer que toutes les informations pertinentes avaient été saisies au cours de l'entretien.

Deux objectifs ont été définis dans le guide. Le premier était de recueillir des histoires pour la prochaine génération de féministes et de créer des archives permanentes pour les recherches futures sur le féminisme de la deuxième vague au Canada.

Comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels)

  • Corporate body
  • 1985-1992
Le comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) a été fondé en décembre 1985 avec pour mission de mobiliser et réunir des intervenants-tes intéressés-es par la problématique des abus sexuels. Les objectifs du comité étaient d'établir un réseau d'échange d'informations, de coordonner les ressources offertes en français en matière d'abus sexuels, de favoriser les références de la clientèle aux diverses ressources, de créer un centre de ressources et de documentation et finalement d'offrir de la formation professionnelle. Il est composé d'intervenants-tes sociaux provenant de différentes agences telles la Société de l'aide à l'enfance d'Ottawa-Carleton, le bureau des services à la jeunesse, le Centre psycho-social, le Centre des services communautaires de la Basse-Ville, l'Hôpital pour enfants de l'Est de l'Ontario, le Conseil Scolaire d'Ottawa.
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The RIFAS committee (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) was founded in December 1985 with the mission of mobilizing and bringing together interveners interested in the issue of sexual abuse. The committee's objectives were to establish a network for the exchange of information, to coordinate the resources available in French regarding sexual abuse, to promote referrals to the various resources, to create a resource and documentation center and finally to offer professional training. It is composed of social workers from different agencies such as the Children's Aid Society of Ottawa-Carleton, the Youth Services Bureau, the Psycho-social Centre, the Lowertown Community Services Centre, the Children's Hospital of Eastern Ontario and the Ottawa School Board.

Thomson, Aisla

  • Person
Aisla Thomson was a project coordinator with CRIAW from 1981 to 1985, and executive director of CCLOW from 1986-1995. At CCLOW, she wrote articles for Women's Education des femmes, wrote or acted as the editor for several documents, and oversaw the direction of research that led to the publications on women and literacy.
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Aisla Thomson a été coordinatrice de projet pour l'ICREF de 1981 à 1985 et directrice exécutive du CCLOW de 1986 à 1995. Au CCLOW, elle a écrit des articles sur l'éducation des femmes, rédigé et édité plusieurs documents, et supervisé la direction des recherches qui ont abouti aux publications sur les femmes et l'alphabétisation.

Levine, Karen

  • Person
  • 1955-
Karen Levine, the daughter of Helen Levine and Gilbert Levine, is an award winning writer and radio producer. She worked at the Canadian Broadcasting Corporation for most of her career where she produced radio documentaries including Hana's Suitcase which she adapted into a book.
Karen Levine lives in Toronto, ON.
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Karen Levine, fille d'Helen Levine et de Gilbert Levine, est une écrivaine et productrice radio primée. Elle a travaillé à la Canadian Broadcasting Corporation pendant la majeure partie de sa carrière, où elle a produit des documentaires radiophoniques, dont Hana's Suitcase, qu'elle a adapté en livre.
Karen Levine vit à Toronto, en Ontario.

Rosenfeld, Rhoda

  • Person
Rhoda Rosenfeld is an artist and poet born in Montreal. She completed her BA at McGill University in 1963 and in 1968 moved to Vancouver, where she currently lives and works. Her work has been shown in galleries such as the Contemporary Art Gallery, the Belkin Gallery at the University of British Columbia and the Macauley Gallery. Her poetry has been published in magazines such as the Capilano Review, Zarf, and West Coast Line.
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Rhoda Rosenfeld est une artiste et poète née à Montréal. Elle a obtenu sa licence à l'université McGill en 1963 et s'est installée en 1968 à Vancouver, où elle vit et travaille actuellement. Ses œuvres ont été exposées dans des galeries telles que la Contemporary Art Gallery, la Belkin Gallery de l'université de la Colombie-Britannique et la Macauley Gallery. Sa poésie a été publiée dans des magazines tels que Capilano Review, Zarf et West Coast Line.

Rebick, Judy

  • Person
  • 1945-
Judy Rebick is a well-known feminist activist, journalist, author, and speaker. Rebick earned her Bachelor of Science in psychology from McGill University, in 1967, and became involved in leftist politics from an early age; she wrote for the McGill Daily during her undergraduate career and served as president of the Ontario NDP Women’s Committee from 1987 to 1988. Rebick became especially involved with feminist issues in the 1980s, acting as spokesperson for the Ontario Coalition for Abortion Clinics while working as the Canadian Hearing Society’s Special Project Director (1980-1992). Rebick was subsequently appointed president of Canada’s largest women’s organization, the National Action Committee on the Status of Women (NAC), where she worked from 1990 to 1993. From 2002-2010 Judy Rebick held the Canadian Auto Workers–Sam Gindin Chair in Social Justice and Democracy at Metropolitan University, (formerly Ryerson University).
During Rebick’s presidency, NAC achieved a high public profile as it helped implement pay equity legislation and increased women’s access to abortion services and rape crisis centres. Key campaigns under Rebick’s presidency included the NAC says No campaign during the referendum on the Charlottetown Accord. Rebick’s presidency also involved extensive media work and lobbying actions on key issues such as abortion law, new reproductive technologies and employment equity.
After her departure from NAC, Rebick launched a career in journalism, hosting the Canadian Broadcasting Corporation (CBC) television programs Face Off (1994-1998) and Straight from the Hip (1998-2000). She helped found the online leftist magazine, Rabble, and is still politically active as author as well as radio and television political commentator.
Judy Rebick has authored numerous book-length works, including “Ten Thousand Roses: The Making of a Feminist Revolution” (2005), Transforming Power: From the Personal to the Political (2009) and Occupy This! (regarding the Occupy movement, in 2012). In 2018, Rebick published her memoirs: Heroes in my Head, chronicling her experiences with mental illness and her involvement in the pro-choice movement.
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Judy Rebick est une militante féministe bien connue, une journaliste, une auteure et une conférencière. Elle a obtenu une licence en psychologie à l'université McGill en 1967 et s'est impliquée dans la politique de gauche dès son plus jeune âge ; elle a écrit pour le McGill Daily pendant ses études et a été présidente du Comité des femmes du NPD de l'Ontario de 1987 à 1988. Rebick s'est particulièrement impliquée dans les questions féministes dans les années 1980, en tant que porte-parole de la Coalition ontarienne pour les cliniques d'avortement, alors qu'elle travaillait comme directrice des projets spéciaux de la Société canadienne de l'ouïe (1980-1992). Judy Rebick a ensuite été nommée présidente de la plus grande organisation de femmes au Canada, le Comité national d'action sur le statut de la femme (CNA), où elle a travaillé de 1990 à 1993. De 2002 à 2010, Judy Rebick a été titulaire de la chaire de justice sociale et de démocratie des Travailleurs canadiens de l'automobile et de Sam Gindin à la Metropolitan University (anciennement Ryerson University).
Sous la présidence de Judy Rebick, le CNA s'est fait connaître du grand public en contribuant à la mise en œuvre de la législation sur l'équité salariale et en améliorant l'accès des femmes aux services d'avortement et aux centres d'aide aux victimes d'agression sexuelle. Parmi les principales campagnes menées sous la présidence de Mme Rebick, mentionnons la campagne du CNA dit non lors du référendum sur l'Accord de Charlottetown. La présidence de Mme Rebick a également donné lieu à un important travail médiatique et à des actions de lobbying sur des questions clés telles que la législation sur l'avortement, les nouvelles technologies de reproduction et l'équité en matière d'emploi.
Après son départ du CNA, Mme Rebick s'est lancée dans une carrière de journaliste, animant les émissions Face Off (1994-1998) et Straight from the Hip (1998-2000) de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC). Elle a participé à la création du magazine de gauche en ligne Rabble et est toujours active sur le plan politique en tant qu'auteur et commentatrice politique à la radio et à la télévision.
Judy Rebick est l'auteur de nombreux ouvrages, dont ""Ten Thousand Roses : The Making of a Feminist Revolution"" (2005), Transforming Power : From the Personal to the Political (2009) et Occupy This ! (sur le mouvement Occupy, en 2012). En 2018, Rebick a publié ses mémoires : Heroes in my Head, qui relate ses expériences en matière de maladie mentale et son engagement dans le mouvement pro-choix.

Moger, Susan

  • Person
"Susan Moger was a member of the Feminist Health Network.
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Susan Moger était membre du réseau de santé féministe."

Baron, Jacques

  • Person
  • 1905–1986
Jacques Baron est né à Paris en 1905. Il était un poète surréaliste

Women's International League for Peace and Freedom

  • Corporate body
  • [1915?]-

The Women’s International League for Peace and Freedom (WILPF) originated in the convening of over one thousand women from 12 different countries, on April 28, 1915, to address the outbreak of World War One. The International Congress of Women had met regularly, since the late 19th century, to further women’s rights and the suffragette cause.

The Congress adopted 12 resolutions aimed at facilitating a just and lasting peace; it also designated an International Committee of Women for Permanent Peace (ICWPP) to help further its goals. During the second meeting of the ICWPP, in May 1919, the Committee re-named itself the Women’s International League for Peace & Freedom.

WILPF headquarters are located in Geneva, Switzerland, where the organization operates under the governance of its international bodies with national sections reporting to the international headquarters. The number of WILPF national sections has varied over time and now includes representation from Africa, the Americas, South Asia, Asia Pacific, Europe, and the Middle East.

WILPF is mandated to further feminist pacifist causes and to facilitate peaceful social change, opposing militarist education and working to end all forms of violence and discrimination, including racism. The organization adopted ecological sustainability as a key goal in the 1980s.

Within Canada, the earliest known WILPF branch or group was founded in Vancouver, British Columbia, in either 1917 or 1921. Several early Vancouver members were associated with the suffragette movement as well as with the Co-operative Commonwealth Federation (CCF) political party. By the 1930s, branches also opened in Toronto, Winnipeg, Regina, Calgary and Edmonton. WILPF membership declined dramatically in Canada, as it did across the globe, in the 1940s and 1950s: only the Vancouver branch remained active in Canada in the 1950s.

WILPF Toronto reopened in the early 1980s, working on disarmament campaigns at both local and international levels. It reopened again in 1996 after several years’ hiatus.
WILPF Toronto was instrumental in developing the Clothesline Project to honour and commemorate women victims of male violence.

In Eastern Ontario, an Ottawa WILPF branch was founded in the late 1970s and included dozens of members: Ottawa groups were also active at Carleton University and the University of Ottawa. The Ottawa branch had functioning committees and an elected steering committee. The Ottawa branch opposed NATO flight testing over Innu territory and supported the STAR campaign to Stop the Arms Race: a WILPF United States initiative.

In 1993 the Ottawa branch published “The Canadian Women’s Budget,” presenting an alternative federal budget to Canada’s military expenditures. The Ottawa Branch also regularly published the newsletter, "WILPF News," every two months.

Both the Ottawa and Toronto branches combined local, with international, actions and initiatives, opposing military intervention abroad as well as opposing local Canadian NATO (North Atlantic Treaty Organization) testing of missiles, and pushing for disarmament initiatives via petitions, letter-writing campaigns, demonstrations, and panel discussions.
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La Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté (LIFPL) est née de la réunion de plus d'un millier de femmes de 12 pays différents, le 28 avril 1915, pour faire face au déclenchement de la première guerre mondiale. Le Congrès international des femmes se réunissait régulièrement, depuis la fin du XIXe siècle, pour promouvoir les droits des femmes et la cause des suffragettes.

Le congrès a adopté 12 résolutions visant à faciliter une paix juste et durable ; il a également désigné un Comité international des femmes pour la paix permanente (CIFPP) pour l'aider à atteindre ses objectifs. Lors de sa deuxième réunion, en mai 1919, le Comité s'est rebaptisé Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté.

Le siège de la WILPF est situé à Genève, en Suisse, où l'organisation fonctionne sous la direction de ses organes internationaux, les sections nationales rendant compte au siège international. Le nombre de sections nationales de la WILPF a varié au fil du temps et comprend aujourd'hui des représentants de l'Afrique, des Amériques, de l'Asie du Sud, de l'Asie-Pacifique, de l'Europe et du Moyen-Orient.

La WILPF a pour mission de promouvoir les causes féministes pacifistes et de faciliter les changements sociaux pacifiques, en s'opposant à l'éducation militariste et en œuvrant pour mettre fin à toutes les formes de violence et de discrimination, y compris le racisme. Dans les années 1980, l'organisation a fait de la durabilité écologique l'un de ses principaux objectifs.

Au Canada, la première branche ou le premier groupe connu de la WILPF a été fondé à Vancouver, en Colombie-Britannique, en 1917 ou en 1921. Plusieurs des premiers membres de Vancouver étaient associés au mouvement des suffragettes ainsi qu'au parti politique Co-operative Commonwealth Federation (CCF). Dans les années 1930, des sections s'ouvrent également à Toronto, Winnipeg, Regina, Calgary et Edmonton. Dans les années 1940 et 1950, le nombre de membres de la WILPF diminue considérablement au Canada, comme partout dans le monde : seule la section de Vancouver reste active au Canada dans les années 1950.

La WILPF de Toronto a rouvert ses portes au début des années 1980, travaillant sur des campagnes de désarmement aux niveaux local et international. Elle a rouvert ses portes en 1996 après plusieurs années d'interruption.
La WILPF Toronto a joué un rôle déterminant dans le développement du Clothesline Project, qui vise à honorer et à commémorer les femmes victimes de la violence masculine.

Dans l'est de l'Ontario, une section de la WILPF d'Ottawa a été fondée à la fin des années 1970 et comptait des dizaines de membres : Des groupes d'Ottawa étaient également actifs à l'Université Carleton et à l'Université d'Ottawa. La section d'Ottawa disposait de comités fonctionnels et d'un comité directeur élu. La section d'Ottawa s'est opposée aux essais en vol de l'OTAN au-dessus du territoire innu et a soutenu la campagne STAR visant à mettre fin à la course aux armements, une initiative de la WILPF des États-Unis.

En 1993, la section d'Ottawa a publié "The Canadian Women's Budget", qui présente un budget fédéral alternatif aux dépenses militaires du Canada. La section d'Ottawa publie également tous les deux mois le bulletin d'information "WILPF News".

Les sections d'Ottawa et de Toronto ont combiné des actions et des initiatives locales et internationales, s'opposant aux interventions militaires à l'étranger ainsi qu'aux essais de missiles de l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) au Canada, et encourageant les initiatives de désarmement par le biais de pétitions, de campagnes d'envoi de lettres, de manifestations et de débats d'experts.

The Women's Place (Toronto, ON)

  • Corporate body
  • 1972-1974
The Women's Place was established in Toronto in 1972 at 31 Dupont Street. It was started by "a group of women who felt there were many women concerned about their liberation, but isolated from one another." It was felt that if these women could be put in contact with one another this would increase the power base women [were trying to build] for themselves. (Taken from the document "Who we are, Where we are, How we got here."
The intention was that the Women's Place would act in a coordinating function and provide a space for women for whatever their needs. They ran several workshops and programs, including a library and bookstore, a lesbian drop-in, liberation workshop, etc. as well as participating in speaking engagement and other activities.
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Le Women's Place a été créé à Toronto en 1972 au 31 Dupont Street. Il a été créé par « un groupe de femmes qui pensaient que de nombreuses femmes se préoccupaient de leur libération, mais qu'elles étaient isolées les unes des autres. On pensait que si ces femmes pouvaient être mises en contact les unes avec les autres, cela augmenterait l’impact de leurs actions pour elles-mêmes ». (Extrait du document "Qui nous sommes, où nous sommes, comment nous en sommes arrivées là".)
L'intention était que Place aux femmes joue un rôle de coordination et offre un espace aux femmes, quels que soient leurs besoins. L’organisme a organisé plusieurs ateliers et programmes, dont une bibliothèque et une librairie, une halte lesbienne, un atelier de libération, etc. et a participé à des conférences et à d'autres activités.
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